L'impossible, nous ne l'atteignons pas, il nous sert de lanterne. |
Il n'y a que deux conduites avec la vie : ou on la rêve ou on l'accomplit. |
L'essentiel est sans cesse menacé par l'insignifiant. |
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Un poète doit laisser des traces de son passage, non des preuves. Seules
les traces font rêver. |
Vivre, c'est s'obstiner à achever un souvenir. |
Ne te courbe que pour aimer. Si tu meurs, tu aimes encore. |
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Les arbres ne voyagent que par leur bruit. |
Avec ceux que nous aimons, nous avons cessé de parler, et ce n'est pas le
silence.” |
A tous les repas pris en commun, nous invitons la liberté à s'asseoir. La
place demeure vide mais le couvert est mis. Pour séraphine |
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Je partage ton mystère mais je ne veux pas connaître ton secret |
Nous vivons avec quelques arpents de passé, les gais mensonges du présent
et la cascade furieuse de l'avenir. Pour martine extrait de "Fenêtres dormantes et porte sur le toit" |
Les femmes sont amoureuses et les hommes sont solitaires. Ils se volent
mutuellement la solitude et l'amour. |
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Tiens vis-à-vis des autres ce que tu t'es promis à toi seul. Là est ton
contrat. |
Je ris merveilleusement avec toi. Voilà la chance Unique. |
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Les mots qui vont surgir savent de nous des choses que nous ignorons
d’eux. |
Hâte-toi Hâte-toi de transmettre Ta part de merveilleux de rébellion de bienfaisanceMa régle en professeur |
La poésie est de toutes les eaux claires celle qui s’attarde le moins aux
reflets de ses ponts. roxane |
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Le poème est l'amour réalisé du désir demeuré désir Nous n’appartenons à personne sinon au point d’or de cette lampe inconnue de nous, inaccessible à nous, qui tient éveillés le courage et le silence |
Le poète, conservateur des infinis visages du vivant On ne peut guère s'attacher à plusieurs choses à la fois, mais il faut être soi tout entier pour une ou deux de ces choses essentielles. Hors de cela on est broyé sans espoir et notre conscience se détourne de nous. (Extrait de "Trois coups sous les arbres") |
Dans la moelle épinière du Temps d'où irradie l'amour, nous célébrons de
l'amour la fête éminente, minuit blanchi par ses douze douleurs. Tu es plaisir avec chaque vague séparée de ses suivantes. Enfin toutes à la fois chargent. C’est la mer qui se fonde, qui s’invente. Tu es plaisir, Corail de spasmes. |
je les avais mis en petits paquets avant mes" aventures de Qi d'huitres" d'hier "" citation de notre josette nationale aprés lecture du billet d'hier...
concert punk plage d'herbe au dessus d'helsinki été....
pour conjurer notre roi hiver et son enveloppe de frisquette pepette.
pourquoi pas !
le rechaud à l'esprit youpi pour l'esprit de noël
J'aime bien ces pralines... elles rendent mon dimanche plus gai... et profond :)
RépondreSupprimerdes pralines que je fais fondre lentement pour en garder la goût plus longtemps...
RépondreSupprimer"Il n'y a que deux conduites avec la vie : ou on la rêve ou on l'accomplit", c'est ma praline préférée!
RépondreSupprimerCe serait tout de même dommage de seulement la rêver où alors seulement la nuit!!
Vis une belle semaine Frankie, ne la rêve pas seulement...
Bisous
je la vis croix crois moi
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