alors si pour continuer votre lecture vous avez besoin de intégralité du texte lamangou@yahoo.fr
et je vous l'enverrai
merci de votre compréhension
Señora
Mercédès avait la réplique à la hauteur de la profondeur de l’impact. .....
.....
.....
.....
.....
De la charrette, la mémé Marie Lou descend chuchote
à l’oreille de Mercédès :
« Où Vas tu allée dans ton rêve ce soir ?
Je te tiendrai la main,
nous le ferons ensemble le voyage,
nous l’inventerons,
ce sera plus vrai que les oreilles de cochons. »
Señorita Mercédès rigole à travers des trombes de
larmes et de rires nerveux
« et
héhéhéhé la queue du cochon est
en tire bouchon »
La Mémé éponge son front, masse ses mains qui
tremblent.
Fanny les rejoint, coiffe son amie : « n’oublie
pas je suis ta sœur-amie « à la vie à la mort ». Elle accroche un hibiscus rouge dans sa houppe de crins blonds et dépose dans son petit vase au
dessin de chamois un autre hibiscus la même couleur :
« et
encore, c’est à dix huit ans que tu as découvert dans ton premier sommet, le mot
fraternité,
...........
........
.......»
........
.......»
Le papa porte à sa vue une assiette de terre cuite à l’émaillage
bleuté, gris, noir , vert .
"C’est beau on dirait la continuité des écailles de ta tanche dodue
gluante ,
Tu arrives direct de la Ronde * ?
Éclats de rire des deux, sourires. Leurs pleurs se mélent pleurs.
- ‘ La Pompon Mercédès d' mon kœur , ...................’
Sur la table en face de son lit, il la pose
l'assiette avec la tanche fraichement pécher,relevée d’un de ses livres :
‘toi qui aime tant peindre les natures
mortes, tu nous feras comme Rembrandt. Peindre te calmes, voici tes boites
d’aquarelles.
La magicienne
Josette sort de sa cachette, fait sortir de son corsage quatre volatiles :
des colombes comme celle de la paix du tableau de Picasso dont nous ne pouvons
pas nous passer d’imaginer son ombre le tableau de Guernica,
et dans
une fontaine creusée dans du marbre de Carrare rose, les colombes vont se
percher sur le bord, boire. L’on entend les bulles de la fontaine et le bruit du déglutissement de l’eau dans le
gosier des oiseaux de paix qui ont la pépie.
Comme sont perchés les buses de Mimi du Sud sur la terrasse du Martinez : (pour défendre les cannois et les festivaliers de la voracité de cormorans).
La mother
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de Constantine.
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de Constantine.
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...
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on ne cherche pas midi à 14 heures, toi oui. »
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...
on ne cherche pas midi à 14 heures, toi oui. »
Les clochettes de Coquette. La mother rejoint les
autres qui s’ étaient regroupés sur la charrette comme les hirondelles sur une ligne électrique
en fin de journée à la veille de l’été.
Señorita Mercédès tomba rapidement dans un doux
sommeil bercée de tout ce qu’elle venait de vivre de magnifique, de soyeux ,
de tendre. Elle n’avait pas remonté le fleuve en cru .........
....
.... Quel gain sur la vie cela .
....
.... Quel gain sur la vie cela .
Merci , merci ma vie de l’invisible d’avoir été
au prêt (comme en voile) des côtes de la joie d'être au monde.
* La Ronde :
endroit en Vendée prés de Maillé où le père de Señorita Mercédès adorée
emmenait sa fille à la pêche
suite demain et prologue après demain
belle lecture belle journée et bonne semaine
Belles couleurs de doux sentiments :))
RépondreSupprimerUn voyage Frankie qu'il fallait mettre au clair poser sa valise et la refaire pour un nouvel embarquement, suivre le vol de la colombe au rameau d'olivier pour nous raconter encore la Senorita Mercedes.
RépondreSupprimergros gros bisous Frankie
lje viens à l'instant de lire ton message sous l'instatanée et le soufle primordial de françois Cheng
Supprimerla force du printemps
j'ai écouté hiers amedi allant écrire aux éditions l'épure le sacre du printemps de stravinsk diable j'avais oublié sa force et toi en synchronicité qui le parler
c'est merveilleux
et merci de ton encouragement pour les dernière paritution de cette nouvel comme je mettais dans l'autre commentaire difficile d'y repartir ce matin
mais avec le temps qui passe les petites phrase à corriger se font seul
et l’inconscient met ses dernières marques à dire...
Merci de votre lecturemanouche et Josette de sa cachette
RépondreSupprimerC’était dur ce matin de s’y recoller
Un petit mot encourageant de mimi du sud à ulyssa
Merci des perceptions et conseil
Oui la colombe de la paix est mon guide
Et vous connaissez qui l’a envoyé
Je ne savais pas que la cachette de Josette élevait des colommbes de la paix.
RépondreSupprimerMais les rapaces du Martinez n'y toucheront pas, j'y veillerais.
Retour aux sources, retour à la source des tanches. La Ronde.
De la traversée du Djebel au bol de chocolat, et de l'aronde sur son fil électrique à la remontée du fleuve Crabe.
Tout y est ! Le curare certainement.
Je t'embrasse Mappemonde.
Belle journée.
la puissance tentaculaire de la pieuvre hospitalière vient à bout des dormeurs, tourteaux ou crabes verts, EPO compris...
Supprimerbises à toutes les 2
Je le sais, Josette.
SupprimerMais je donne un autre nom au crabe : épée de Damoclès qui te suis comme une ombre et qui parfois tire plus vite que toi.
Bises
Merci pour cette intéressante lecture je reviens pour la suite. Bisous.
RépondreSupprimermerci merci de vos lectures qui jutent de sens je fais les corrections du 3eme partie du fragment 4
RépondreSupprimerà tout à l'heure les grâces... Mappemonde vous embrasse
et jouxtent le sens.
RépondreSupprimerouf comme je suis contente de voir la fin arrivée pour demain matin.
cela oblige à grandir vite , l'écriture nous encore plus responsable de soi et de nos lecteurs et lectrices assidues.
l'interraction qui s'est occasionné par la synchronicité des échos des unes et des autres, comme une train d'enfer qui traverse le massif central et renverse tous les tas de bois de la gare de birve la gaillarde et nous sommes de drôles et grandes gaillardes.
sur le gaillard d'avant u bateau vie ...
gros bisous je ne suis pas en avance pour le marché