jeudi 6 juin 2013

nouvel 2 :prologue ." D'un nombril à un autre : un cratére"


des petits coupures ont eu lieu
pour des raisons de parution si vous souhaitez avoir l'intégralité du prologue 
lamangou@yahoo.fr et je vous l'enverrez
merci 


D’une histoire  sans fin

Une autre bataille perdue

Une guerre se termine

Du moins pour señora Dolorès

Pardon : la  Señora Mercédès.



Sonnons la fanfare

Comme le prince de Hombourg

De Kleist , en avance :

Ne pas aller à  l’hécatombe,

Catacombes
Boum, boum, boum, round.

Fuir, sauver ses abattis, avant,

Alors qu’ Heinrich  Von Kleist

Son prince, d’avoir sonné

Avant la fanfare, il fut mis en prison.




.....
...

La mêlée

S’emmêler

    Encore

NO, NO, NO, NO

Non






Trouver la parade

Les mineurs avaient leur canari

 malien chanteur.

Ce petit oiseau jaune

Quand le chant s’arrêtait

Le coup de grisou était à leur trousse

Ils fuyaient plus haut dans les galeries.





L’Eclat de rire, forme subversive

Employé par les grands négociateurs

Qui ne doivent pas casser d’œufs

Sans casser leur œuf,rester "noeufs"

Enrichi du jaune  d’œuf

couleur de tournesol :

La bête florale du soleil.








Défait le nœud pour la señorita Mercédès



Cette indomptable Mercédès, Dolorès

Cette indomptable branlante

....
...
...
...

comme un coucou régulier d’horloger suisse.

Ou après le volcan de Pompéi.

C’est pas la Pompadour,
c’est la señorita Mercédès de Pompei .





Quelle inauguration ce nouveau nombril !

........
...

........


La señorita Mercédès croyait
 qu’elle y était au bout,

Tout était fini de leur infatigable facture : inlassable mise au kao cacao ! Coco ?

Aussi fort qu’inspire , expire

En montagne, nous croyons être au sommet

Ce n’est qu’un col.
Señorita Mercédès aura son sommet, il portera son nom.



  Nombril « noeuf »

;;;....

;;;...
...




Eclats de rires « tonictuant »

Rire de chaque porc de sa peau.

De pores en port, sur le dos du porc

Le porc épic, le porc épique.







Le  cratère s’enfle de pluie

Ce fut la saison hémorragique,

la der des der

marqué de ce  printemps 2013.

Pluie mieux mieux, comme vache qui pleure,





Ah ! Le beau lac ! Quelle nappe au cratère !

La nappe nipponne  inhibe son érosion.

La señorita Mercédès prend le pédalo,

s’y promène sur la circonférence, de bord à bord

Bora Bora , boras

En pantoufles  palmées.




...
...
...
...
...



...

Laissons-les à leur césure

Dans son dernier concept :

- Doctore en Escribir : Yo no sé-

«Escribir » en regorge de césures

Pas d’accumulation.



In challa, lalallala lère

In challa

Qui la lira, l’entendra!

In challa, lalallala lère

In challa, lal, la, la.  Là.




L’herbe a poussé en rose dans son cœur

la nuit de sa sortie






Fin – Faim








Prochainement Odette et Monsieur Souche







Et tous mes sincères remerciements à vous,  pertinentes lectrices et lecteurs
et comme vous avez pu voir, des petites marques de vous sillonnent les phrases.
Josette de sa cachette qui éléve des oiseaux de la paix 
Mimi du Sud et ses buses pour la protection  contre les oiseaux voraces,
Manouche,
Solange
Roger,
et encore

Une pensée chère aussi pour Annajo
qui n'a pu lire , en transit, de Bangkok en Birmanie que les paragraphe avec beaucoup de pointillé.Comme Armarita

belle lecture

6 commentaires:

  1. S'immerger dans la nappe nippone , la nique au néant...

    RépondreSupprimer
  2. Tonique et tuant le truand cette Odyssée de ports en ports épiques
    Nombril naissance ombilic du Monde Ulysse retrouve Ithaque...
    Le prologue signe la nouvelle
    bravo généreuse Frankie
    je t'embrasse

    RépondreSupprimer
  3. merci manouche et Josette de votre coup de plume
    Hypercut du sens
    super
    ce fut une très beau voyage avec vous , et c'est avec un sujet pareil que l'on tremble car nous devons absolument respecté le lecteur
    et à certains moments sur la corde raide, à ne pas mettre les lecteurs dans une position de voyeur
    et çà non
    je ne le voulais
    demain je mets la recette de la joue de boeuf

    RépondreSupprimer
  4. oh que voilà bel appétit revenu avec le renouveau des nappes frénétiques:
    les joues mijotées vont pouffer en mesure avec oignons et carottes ,
    tandis que Mercedes virevolte autour de la marmite des Mamitas de Plata ,
    au son de la guitare elle tente une gutturale mélopée aux inflexions caressantes,
    Bondissent alors hors du faitout voluptueux , les parfums gourmands de la gourmande fièvre,
    Se pourlécher les babines en attendant de pied ferme la cohorte des mal-diseux,
    ceux là qu'on voudrait laisser au coin du bois .
    Les hosannas falbalas rouge pétard brandis en éventail au soleil disque d'or,
    Les Mamitas entourent de leur ronde aux bracelets sonnants et trébuchants ,la grandiose Mercédès ,
    perchée sur le centre du Monde, les bras flottant au dessus du volcan
    La cuisine embaume
    La table des festins nous attend !
    Chantons pour l'égérie chérie des oracles !

    RépondreSupprimer
  5. Et si la faim est là c'est bon signe, merci pour ce délicieux récit.

    RépondreSupprimer
  6. Bien sûr señorita Mercédès tu l'auras ton sommet à ton nom.
    Tu le mérites, tu peux y arriver. Il sera dans ton âme et dans ton cœur à l'herbe rose et, dans le cœur de ceux qui t'aiment.
    Et bien sûr comme tu as raison ne pas se gêner de sonner la fanfare bien avant la bataille. Elle n'en sera que plus simple à mener.
    Je t'embrasse Frankie. Belle journée

    RépondreSupprimer