Cap de sable , Burt son chien mythique son bureau un embarcadère
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He corrects hand book .
*LA DAME EN JAUNE
BURT de Belonies de père en fils prend son « chapeau guitoune » de tous les temps :
Trois en un :
Soleil, pluie , tempête
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Et même un en quatre
Pour l’orage il fait cage de Faraday ;
Il n’a pas encore eu le temps d’expliquer à sa Rose « la science »
Cette dernière qualité de son chapeau.
Il sort de sa cabane du CAP DE SABLE .
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Dans sa cabane, la symphonie du silence.
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Les bois parlent au grincement du fauteuil .
Les bois conversent avec son poêle,
Le feu crépite et ronfle comme un bûcheron
qui galope après les biches dans sa sieste.
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Les bois font symphonie avec les rêves
de son animal, sa bernique familière ….
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Son bureau est un embarcadère
Les personnages de ses écrits le prennent pour leur nounou
Ce sont eux qui lui en racontent,
alors il est leur obligé .
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Pour Burt et Gudule il est temps de se dégourdir les jambes.
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Combien d’heures ?
Le temps se marque ici, avec la bougie.
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Combien en a-t-il rallumé depuis qu’il a ouvert sa gondole : hand book.
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Il a traversé deux siècles :
Monté sur les barricades, fais la campagne d’Égypte,
et préparer des haricots rouges pour Galice la fille de ROSE ;
A peine le pied en charge de la terre lourde et humide de Cap Sable
que devant lui, le couple de japonais qu’il a fait dialogué avec la Gran Ma
tout à l’heure « Dans l’homme couleur d’huîtres » …..
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Ils sont là à se fendre la gueule sollicitant une rencontre.
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Non il n’a rien mis dans sa pipe de particulier sauf un léger « Hamsterdarmer » pour téter une saveur agréable : s’arrêter de l’encre , alimenter le corps de sa cheminée.
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Ils sont là, avec quelque chose à lui dire comme dans le livre de nouvelles :
« Vieille Sicile » de Pirandello où les personnages, le dimanche matin dans la classe unique de l’école du village les personnages viennent faire d’autres propositions sur la fin ou….autres endroits de leur récit , l’auteur néglige parfois de les rencontrer dans le détail alors ils ne sont qu’un porte manteau de leur lieux communs de celui –ci, pouah !
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Les personnages détestent ce genre de sperme de nombril qui se sert d’eux pour faire briller, …. ? ….. On ne s’est quoi ?
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Ils sont lumière ou petite luciole ouverte sur un monde à venir dans une étreinte d’essentiel alors des pets de sadiques anaux à la langue toujours sortie de leur futur « entourloppette » au progrès grandissant de leur narcissisme primaire.
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Et Oh ! Auteur ce n’est pas n’importe quoi que de traverser les mémoires alors remettez « toi » à « ton » embarcadère, les travaux encore à la table.
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Burt se dit je crois qu’ils viennent :
pour le petit garçon
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– villa palmarès en villégiature ou l’art de traiter la censure à la Navorina,-
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peut-être lui parler de sa maman
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ce qui voudrait dire que l’on ne peut pas lâcher ce roman « Le bête seller » à peine commencer que sur les rotules ,
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notre amie Frankie a mis tout son monde de villa Palmarès sur le coup , même HMB à débarquer à la villégiature , Burt n’aime pas qu’il rode la Villa trop de choses le relie à sa ROSE ,
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si des mémoires inutiles repartent dans le tamis du refoulement ou de l’amnésie, les mémoires hamszamérisées, la leur mémoire c’est de la « chaaux » vive cousue du rouge à la Nicolas de Staël.
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Burt regarde son chien mythique, il est à l’affût en arrêt même, une lune d’or lui pousse sur son épine dorsale.
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Je vais les inviter ces deux nippons, au saké puisqu’ils ont mangé.
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Galice ne se posera pas de question, elle est « envaudouté » de son amoureux, pour elle le normal dans cette famille rapportée est inquiétante .
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« Kool » dira –t-elle glissant comme en bobsleigh dans les bras de celui qui commence à énerver BURT .
Fille, fille adoptive,
un spermatozoïde qui n’était pas là ?
mais , mais, bé ! bé !
qui s’est transformée en une zibeline d’amour,
….. Et son voyage en Grèce chez le père de Galice, heureusement qu’il l’accompagnait
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car il la mettait en décapilotade
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à la petite cuillère, il la reconstruisait la Galice
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Kalriclopodaros le diamantaire de la plage de Sumatra à Santorin !
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Il ne peut s’arrêter de penser à SA ROSE qui vient de rafler toutes les subventions de la ville pour cinq ans pour son projet : « Nouvelles utopies. »
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Ca vaut bien 27 ans sans aucune , tout calcul fait,……
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Trente ans à glaner le monde, pas un geste lancé à la bordelaise en Exil …. Des actes marquent, causes : au bon endroit ; Je ne suis pas là ils vont faire comme toujours.
Nous connaissons leur meurs leur « tam tam baudroie- poireaux - vin rouge, leur godaille, leurs sarments. »
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L’échalote.
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« Crépinette et Chevriette cheura ».»
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J’ai mis mon meilleur garde du corps sur le coup , il y a une chose que je ne comprends pas, il porte une tête de mort sur son tee short , toujours ses « ray bans » à l’ancienne, et il ne travaille qu’avec des chiots. Dog de Bordeaux.
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Quand je vois Galice fondre dans les bras de son doulcinéo , je n’ai qu’une envie prendre l’hélicoptère avec tout ce monde et les entités qui ne se sont pas encore fait connaître et transporter tout çà à la soirée de « médaillage » enlever Rose et son amie Dame en Jaune , Chantal S, FlorA B ; appeler les paparazzi y a de quoi en rire , faire le buzz aussi arrosé et en tête d’affiche que la miction de Gérard Depardieu dans l’avion .
Atterrir tous à la Villa sur les bords de l’Estuaire,
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Le précipité de l’action chimique
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Me jeter dans les bras de ROSE , la trousser comme un étalon anglo arabe sauvage du TROUSSER du Cap de Sable et roses des vents.
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Ecrit par
Rose Louise Marie de la Villa Palmarès en Villégiature
Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
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C4EST PLUS UN TEXTE EN ART DU FRAGMENT
RépondreSupprimerQU'UN RéCIT CLASSIQUE
lisez le très doucement
autrement il ne se livra pas
à plus
Quand les personnages parlent, l´auteur doit apprendre à garder le silence...
RépondreSupprimerJe passai te faire un coucou.
Bises, Frankie.