Jeudi 10 novembre
La route suit son train train dans le
vent , le froid , les abris bus, les palabres avec les amis fraternels anomymes.
L’évenement américain délit les
langues ,
l’inquiétudes bougonne dans les mots lancés à droite à gauche dans un humour qui glisse en hyper réalité. Cela s’entend.
La proximité de la sacrée date du 13
novembre
on dirait que les cercles de pensées en vibration sur la quête de la
paix et de la sérénité agit.
J’ai rencontré une vieille amie
ancienne colocataire ... et nous avions
passé de grands moments de partages, il y a au moins quinze ans et la fête sur le
trottoir comme si nous nous étions juste quitter.
Nous avons clôturé mes courses et
nous avons partagés un café.
Et
elle venait de croiser une autre amie quelques demi heures plutôt.....
*
Quand un téléphone parle trop longtemps dans le bus, je lis mon
livre à haute voix .
Aujourd’hui je lisais "La vie
poétique, j’y crois." Collection Bayard
Colette Nys Mazure
Les sourires
éclairaient les visages , on me demandait le titre pour l’acheter , les
sourires complices comme les giboulées en mars,
et les éclats de rires.
Resistons à ses vies racontées qui nous sont imposées dans les salles
d’attente médicale , les magazins au
rayon boucherie ect…
Et mes qualités de lectrice à France culture a fait le
bœuf dans le bus pour le ravissement de tous et toutes….
La photo que mon amie Anne a pris de moi
.
La chirurgie esthétique de la fraternité amitié me va bien comme lumière , je
la partage avec vous
***
Bel 11 Novembre .
A nos poilus d’Amérique,
d’africaine d’Angleterre et de la France.
Mon grand pére a eu la médaille de guerre,
en charrette et des percherons, il portait les munitions aux tranchées.
Ma grand mère
paternelle faisant un stage de couture en Ardenne a été embarqué pour recoudre dans les blocs aux sorties des tranchées.
Nous avons tous une petite histoire des
nôtres.
****
Il y a aussi le livre "Cri" de Laurent Gaudé
: superbe comme écriture sur la guerre de 14-18
Et, la valse bleue Horizon.
Et l’hymen africain : jazz composé par les musiciens noirs d’Amérique, d’Afrique , qu’ils chantaient pour
mettre le feu à leur courage quand ils s’engageaient dans le labyrinthe des tranchées.
Ils découvraient en plus le fruits de l'esclave et de leurs ancêtres.
Je vous sers fort sur mon coeur jaune comme les feuilles du gincko de ma coure . L'arbre de l'immortalité : il resista à la première bombe atomique.
voici la bombe sextagénaire
Map's monde en bleu Horizon du 13 novembre.
bombe sexygénaire Frankie...
RépondreSupprimer11 novembre. Je partage ton hommage.Et aussi"la résistance à nos vies racontées", vivons les.
RépondreSupprimer