mercredi 23 mai 2012

Thomas bernhard au Théatre de la Colline : des arbres à abattre


 Une fois que nous avons joué au théâtre une pièce de Thomas Bernhard à vie  nous sommes liées à cet auteur. alors ce matin en lisant la presse Evene je n'ai pu m’empêcher de vous faire partager cette nouvelle


je vous raconterai prochainement   mes émotions à travers l’œuvre de ce très grand auteur


c'était "La société de chasse" 1991 Théâtre du port de la Lune à Bordeaux et au thétre de l'Atelier à Paris

 

Des arbres à abattre

“... je hais Vienne mais je suis quand même forcé de l’aimer, et je pensai, tandis que je courais déjà à travers le centre ville, cette ville est quand même ma ville et elle sera toujours ma ville, et ces gens sont mes gens et seront toujours mes gens...”



Des arbres à abattre, l’écriture comme un cri. Lors d’un “dîner artistique” donné par les époux Auersberger en l’honneur d’un vieux comédien du Burgtheater, le narrateur, assis dans un fauteuil à oreilles, observe l’intelligentsia viennoise, avec qui il avait rompu depuis presque trente ans. Comme la plupart d’entre eux, il a assisté le jour même aux obsèques de Joana, artiste en marge qui s’est suicidée, le dîner mondain ne s’annonçant alors comme rien d’autre qu’une sorte de requiem pour Joana. Alceste moderne, le narrateur, double à peine déguisé de l’auteur, ressasse son exaspération devant ce petit monde étouffant dont l’art semble la seule préoccupation, et rumine son besoin d’écrire enfin tout ce qui l’empêche de vivre. Depuis longtemps, Claude Duparfait arpente l’œuvre de Bernhard comme un territoire familier, un chemin de connaissance, en écho à sa vie d’homme et d’acteur. Avec Célie Pauthe, qui a mis en scène L’Ignorant et le Fou, ils s’emparent avec cinq acteurs de l’urgence de ce roman majeur, bouleversant, où Thomas Bernhard mène implacablement le procès des artistes et de leurs admirateurs. Un réquisitoire dont l’humour désintégrateur se nourrit d’une quête brûlante : retrouver la vraie promesse de l’art, celle d’une pleine respiration.


Photo © Elizabeth Carecchio
extrait de la plaquette du thétre de la colline



·  du 17 Mai 2012
au 15 Juin 2012
·  Infos évenement :
Théâtre national La colline - 15, rue Malte-Brun - 75020 Paris. Du mercredi au samedi à 21 h, le mardi à 20 h et le dimanche à 16 h.

Thomas Bernhard Le faiseur de théâtre sublime

la fameuse partie carte  entre l'Ecrivain et la Générale dans la Société de chasse


Photo © Elizabeth Carecchio

Photo © Elizabeth Carecchio

 

 






 

 

Thomas le tritique d'un récit

Thomas dit : "on dit des inepsies sur moi"

Ne le manquez pas on sort d'un spectacle de ThomasBernhard autre de ce que l'on était,

en tant qu'actrice

et il nous enséme en tant que spectateur

votre chroniqueuse

Frankie

 

 

 

3 commentaires:

  1. Je ne pourrai pas voir ce spectacle, mais grâce à toi j'en découvre un petit bout...

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  2. mon cher ÖLTI depuis ton nouveau format je ne peux te mettre dans mes blog je vais essayer et te mettre un commentaire et la croix et la bannière.
    j'aimais tes mots et que des images...

    merci d'être là. dis moi si tu as garder ton ancien frome et comment je la retrouve car j'ai eu un bug ce qui fait que j'ai permis grand nombres de mes blogs amis dont toi
    je t'embrasse sache que ce n'est surtout pas un reproche mais un manque de toi je t'embrasse fort

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  3. Un article très intéressant sur un monsieur que je ne connaissais pas.

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