Trois fois me fut donné d'y être. Avant j'étais malade de ne pas y être , maintenant je regarde passer ces dates, mon désir m' fait travaillé en amont , comme une débile. Aujourd'hui. ...
Quelques phrases de sagesse
au tapis rouge de mon cœur
1 La trace d'un rêve n'est pas moins
réelle que celle d'un pas.
2 C'est
quand on n'a rien à faire que le temps est précieux.
3 La dimension du divin s’ouvre à partir
du visage humain.
4 Le regard de l'autre n'est pas neutre.
C'est une perception qui provoque une alerte émotive, une sensation
d'invitation ou d'intrusion.
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un tapis rouge pour méditer |
5 Lorsque nous nous
affranchissons de notre propre peur, notre présence
libère automatiquement les autres.
6 Le sublime est la résonance d'une
grande âme.
7 Là où l’amour règne, il n’y a pas de
volonté de puissance et là où domine la puissance, manque l’amour. L’un est
l’ombre de l’autre.
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A perte de vue le regard agrandi, Ne jamais se perdre de vue |
8 Le souci de sa propre image, voilà
l'incorrigible immaturité de l'homme.
9 Nous participons tous à la création.
Nous sommes tous des rois, poètes, musiciens ; il n'est que de s'ouvrir comme
un lotus pour découvrir ce qui est en nous.
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Ce qui s'écrit dans le coeur | | | | |
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Fleur rouge de la pensée |
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Nous avons en nous des fleurs qui poussent elle marque nos 15 minutes de gloire grapillé pas où on les a attendues
Belle journée, un peu nostalgique permettez le moi.
Frankie
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Frankie faisons notre festival; tu déroules le tapis rouge sur ton blog et nous venons toutes y parader...
RépondreSupprimer"La gloire est le deuil éclatant du bonheur"!!!
RépondreSupprimerJe me contenterai donc du tapis rouge de méditation.
(bien obligée !)
Bisous Frankie.
j'espère bien quand je serai avec ma retraite dans la poche, que nous prendrons le temps de nous organiser pour nous retrouver dans un endroit de la France , nous pourrions louer un gite rurale et pendant quelques jours nous nous ferons un festival . excellente idée...
RépondreSupprimerle cadeau de ma carrière de comédienne et d'actrice m'offrit l'écriture.. y a de la route à faire , je le sais rien que dans mes commentaires qui sont si souvent effacés, je me rends compte que transmettre par l'écrit demande des qualités que je n'ai pas , mais un jour j'aurai une secrétaire . mais pour l'instant je n'en ressens pas le besoin c'est un tel miracle pour moi d'écrire un telle joie et l’académie est pleine académiciennes.
pour le reste ce la me fait des visites avec dispenses..
Oui, l’écriture est un miracle et une joie.
SupprimerOui, mais pas n’importe laquelle.
Permettez-moi, chère Frankie de faire état de mon cas.
Tant que j’ai été prof de philo, j’ai écrit – beaucoup écrit : des cours, des disserts… A chaque fois je savais où j’allais avec quoi il fallait faire, et tout l’art était dans la réalisation, le montage, le poli des transitions… Bref, j’étais un artisan, et mes seuls moments de liberté étaient quand j’étais en improvisation. Inutile de dire que le temps passant, j’ai de plus en plus improvisé.
Quand j’ai été retraité, je me suis dit : lâchons les chiens. Alors j’ai écrit en toute liberté ce qui me faisait vraiment plaisir, sans règle autre que celle de mon contentement, parce que j’écrivais pour savoir ce que j’avais à dire. Et ce que j’avais à dire était principalement dans la forme courte et dans l’analyse : très peu de fiction ; encore moins d’ouvrage un tant soit peu développé.
Pourquoi pas ?
Seulement, en me relisant j’avais beaucoup de déplaisir à trouver fade et mal fagoté ce qui m’avait donné tant de joie la veille. L’essentiel de mon temps d’écriture est alors passé dans les reprises, les corrections, les mises au rancart. Je n’avais jamais autant jeté de ces écrits pourtant chéris…
Oui, mais il faut arriver à un équilibre entre l’absence et l’abus de corrections, trouver le moment où on se dit : ça n’ira pas plus loin – je clique sur la mise en ligne.
Voilà : depuis 6 ans je fonctionne comme ça. Peut-être un jour ferai-je l’expérience que vous évoquez, chère Frankie, de participer à un festival comme vous le suggérez.
Prévenez-moi quand vous aurez votre pris retraite.
Je vous embrasse,
Jean-Pierre.
merci de ce long mot. je prendrais le temps d'y répondre plus en avant dans la fin de journée. j'entends fort bien ce que vous me dites. hier j'ai passé la journée à déchirer ce que j'ai écrit. depuis des années des années. la désespérance, et puis parfois je vois dans certaine note la naissance d'une pièce de théâtre qui a eu lieu qui a été joué , et des points justes évoqués qui furent un grand spectacle. les jets en germes.
Supprimeril y a le textes que l'on ne reprend pas car on ne sait où il va trouver sa place son insert celui comme vous dites qui nous rend si heureux et qui le lendemain tombe à plat..
sur le blog je n'en mets pas beaucoup car les gens les boudent et comme je suis encore sensible étant encore en activité et une de mes boites à outils sont mes sens... alors j'y vais avec parcimonie.
à bientôt
frankie je vous embrasse.
à c'était à manouche le dernier billet mais je pense que solvieg
RépondreSupprimer"la gloire est le deuil étonnant du bonheur" en voilà une phrase
non pas obligée
mais pas mal non plus... vivre et être debout chaque jour avec le sourire c'est déjà un gros travail
et certaine fois c'est fort glorieux
J'aime bien la pensée de Dany Laferrière.Le tapis rouge c'est bien loin de mes pensées.
RépondreSupprimercomme je te comprends.j'ai connu un festival où j'étais o* une actrice connue ne pouvait y assister sans que l'on lui mette le tapis rouge.
SupprimerSache que ce ne fut jamais mon exigence.
De tant en tant j'ai reçu quelques honneurs, mais par rapport à la caisse attente où je fus confinée, je les ai avec cœur accepté.
et je comprends que ce soit le dernier de tes soucis.
" c'est quand on a rien à faire que le temps est précieux."
oui je comprends fort bien
Grosses bises Solange.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimer« Cannes c'est un endroit bizarre où l'on montre des films qui ne sont pas sûrs de sortir à des gens qui ne sont pas sûrs d'y aller. »
RépondreSupprimerde Gilles Jacob