Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
Le vent du sable (ou plutôt le chant du sable), c’est vraiment impressionnant. On pense à ces accords qui débutent certaines symphonies (qu’on songe à l’ouverture de Ainsi parlait Zarathoustra de Richard Strauss, cette note hyper-grave obtenue à l’orgue). Mais aussi ce qui est vraiment impressionnant c’est que ce son résulte du frottement de milliards de milliards de grains de sables remués par le vent. C’est un retour à ce que disait Leibniz : quand nous entendons le bruit des vagues sur la plage, c’est en réalité la somme du bruit de chaque grain de sable sur les autres. Nos sensations disait-il sont la sommes de toutes petites sensations, la somme du bruit de chaque grain de sable, imperceptible isolément, colossal collectivement. Bon – L’intérêt de tout ça c’est qu’en tout soit comme ça. Quand je vois une belle femme, mon émerveillement vient de la somme de ces tous petits scintillements de sa peau sous le soleil. … Oui, mais j’ai quand même l’impression que je réagis d’un bloc… Hum-Hum… Je vous embrasse, chère Frankie. Jean-Pierre
Le vent du sable (ou plutôt le chant du sable), c’est vraiment impressionnant. On pense à ces accords qui débutent certaines symphonies (qu’on songe à l’ouverture de Ainsi parlait Zarathoustra de Richard Strauss, cette note hyper-grave obtenue à l’orgue).
RépondreSupprimerMais aussi ce qui est vraiment impressionnant c’est que ce son résulte du frottement de milliards de milliards de grains de sables remués par le vent.
C’est un retour à ce que disait Leibniz : quand nous entendons le bruit des vagues sur la plage, c’est en réalité la somme du bruit de chaque grain de sable sur les autres. Nos sensations disait-il sont la sommes de toutes petites sensations, la somme du bruit de chaque grain de sable, imperceptible isolément, colossal collectivement.
Bon – L’intérêt de tout ça c’est qu’en tout soit comme ça. Quand je vois une belle femme, mon émerveillement vient de la somme de ces tous petits scintillements de sa peau sous le soleil.
… Oui, mais j’ai quand même l’impression que je réagis d’un bloc… Hum-Hum…
Je vous embrasse, chère Frankie.
Jean-Pierre
Très beau commentaire ci-dessus! et le chant, si impressionnant. L'as-tu entendu?
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