dans les rôles de mère maquerelle ou de péripapétitienne notre imagination est à rude épreuve
dans la nuit africaine mère maquerelle du Bodéga à
Dakar
1930 un client voulait des petites dents de lait
voici
un extrait de mon carnet de travail
Les
petites dents de lait du client du bordel de Pilar- Paulette. Ce marquis Yanguy Youl
vantait effrontément de ne faire l’amour dans le bordel de Pilar- Paulette le
Bodega qu’avec des jeunes filles en dents de lait. Pilar- Paulette du démentir dans sa
haute clientèle qu’elle se faisait
acheter partout où elle pouvait des dents de lait pour satisfaire ce marquis de Yanguy Youl. Quand il venait ,
il était drogué assez rapidement afin
qu’il ne puisse discerner dans la brume de ses contours optiques la femme qui
faisait sa besogne et quand elle avait terminé
suivant les ordres de Madame Pilar- Paulette, dans une petite poche que Pilar- Paulette cousait
elle - même le soir quand toutes ses petites turbinaient dans les morceaux de
pagne et de soies lustrées . Et il se faisait faire des colliers comme les chasseurs
de requin se faisaient sertir en or leur dents de requins
ou les chasseurs de gras gibiers ,les griffes de tigres ou de lion. Dans
la grande salle où conversation exaltation prénuptiale à la chambre des délices les hommes étalées sur leur corps leur
chemise entrebâillée leur trophée . Le
marquis excellait car bien avant la mode du piercing il s’en faisait mettre aux
oreilles les dents de lait, à son nez qui a force devenait comme un oursin aux
aiguilles blanches et son nez comme l’asepsie n’était pas au top le tarin du marquis Yanguy You était une sorte
de vessie de loup rosé pourpre doublé de
la marque lifting : wisky Perrier.
Dans
les camps de chasse l’histoire se diffuse comme du thé japonais et les
femmes ont leur raconter pour combler
l’ennui des dames Bovary femme des colons et les fatous et les boys le savaient, du coup dés qu’il
arrivait quelques part c’était le fou rire, et des vagues de complicité, lui
était heureux de rendre les gens de si bonne humeur et il était sur que
l’énergie que lui communiquer l’amour avec ses petits filles étaient là qu’il
puisait son talent. Personne ne le contrariait. Et le commerce des dents de lait
se savaient. De partout on venait jusqu’au Bodega sa belle et grande
demeure ou on s’arrangeait pour se
trouver sur la route de Pilar- Paulette, pour lui vendre des dents de laits.
Le client qui voulait des dents de lait .
demain
le fantasme du père Noêl du dernier essai qu je n'ai pas eu .
et si vous avez une idée écrivez là , ce sera rigolo évidemment je ne vous dirait pas le scripte droit de réserve , mais celui que j'ai imaginé réalisé comme comment donné des dents de lait à un client en gardant l'éthique de la femme même si elle la patronne d'un claque .......
J"ai une dent contre Pilar-Paulette !
RépondreSupprimerJ'ai une dent pour Pilar-Paulette !
RépondreSupprimerEt moi je n'ai plus de dent,ha, ha,ha.
RépondreSupprimerQuels fantasmes, ces dents le lait!
RépondreSupprimerCOURAGE! jamais 5 sans 6... la prochaine fois tu casses la Baracke!
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