FRANKIE PAIN

Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.

lundi 31 décembre 2012

marathon de la sainte Sylvestre est commecé , page page édité troiséme page

Le morceau du jambon

Purge au Monastère

III

page
extrait
des coupures furent faites le 3 janvier
si vous souhaitez le livre faites vous connaitre sur
lamangou@yahoo.fr

Là tout ce sang de ......

Comme c’est drôle de revenir au cochon ,

de manger du cochon ,

j’adore malaxer la caouanne du cochon.

Ca a en dur si la caouane.

caouane caouane caouane caouane caouane caouane caouane

Chante Mademoiselle De crues d’Ailes de Pauillac.

Cette caouanne de jambon avec ses poils rasés mais là encore, elle les sent qui titillent son palais . Ce poils presque vivant. Elle comprends soudain : flash d’anthropologue, - un de ses anciens métiers-, le cannibalisme. Manger le corps de l’autre, se l’incorporer. Pour elle, se réconforter les tripes nouées d’un dédale d’une tragédie grecque des Atrides. « Purulantment » elle constata la nature du labyrinthe où l’on cloute cette Mademoiselle De crues d’Ailes de Pauillac. L’issue soit elle se transforme en Icare et s’envole vite pour être sauvée de ces ventres d’architecte aux stratégies « crodilement » gloutons douteux ou elle mordra la terre et y sera ensevelie vivante comme dans ces études sur terre d’Afrique où on lui racontait que les femmes si elles avaient accompli -une petite erreur de conduite- et même pas : simplement d’éviter de tourner en rond et trouver une issue humaine pour tout le monde , et bien oui, cette femme là, de la parole , et bien emmurée vivante , et , il y en avait des villages où on lui racontait çà , c’était même mentionné dans les livres de l’histoire d’Afrique de l’Ouest.

Oula oula oula loullalala

Loullalala , elle s’envola

Oula oula oula loullalala

Mademoiselle De crues d’Ailes de Pauillac ne flirta pas avec le soleil,afin de ne pas faire comme icare bruler ses ailes elle connaissait l’histoire, c’est ainsi qu’elle a atterri ici au monastère de Sœur Sophie, Sœur Margay, Frère Jacques et Frère Rutabaga, Frère Quant Un y en a un Autre, Frère Orazio, Sœur Lutina, Sœur Keria, Sœur Fanny