2 épisode
Epilogue d’Agnès
le billet de ce matin a été corrigé
La contée est terminée Babouska rassemble ses instruments de
musique pendant que s’éveillent les mots, le rouge gorge distribue la parole et la Babouska répond en interrompant son organisation. A brûle
pourpoint elle demande :
-qui
a le blues de Noël, lève la main.
Regard chacun, sur chacun et une petite main et deux ,de plus en plus vite 7 mains.
Babouska
Très bien.
C’est le moment de faire un baluchon chaud vers
le père noël. Il a besoin de renfort , plus nous serons de mains, pour son
gros retard mieux ce sera.
Babouska
quitte 5 de ses 10 jupons. Elle sera plus tonique pour la remontée jusqu’à Helsinki(Finlande), elle
chausse les bottes du chat botté et s’attelle comme une renne à son traineau fait d'une
palette de bois bordée par des cageots de peupliers pour protéger les mamies
blues de Noël dans les "viréeages", des sièges de caisses d’oranges
et quelques pouffes donnés par un ami
marocain du quartier.
Babouska
offre alors de boire la portion magique pour être transformées en particules d’elles
mêmes de 95 % afin d’être aussi rapide que la pensée.
La
complicité était là, établie lors de la contée.
Après
des « au revoir chaleureux », la route traça . Chacune allant de trilles, trémolos, on aurait
cru entendre le rossignol au printemps, mais non, nous survolions les cimes des
pins de Suède et Norvège en robe d’hiver.
Les oiseaux dans l’ennui de leur branche
gelée prenaient le vol derrière elles comme
les mouettes autour d’un chalut qui trie ses poissons. Les fjords figés, elles
survolent des bâtiments du centre d’Helsinki pareil aux places de Russie et
enfin le bord du lac où elles vont
reprendre leur corps à leur dimension .
Un
coup de potion magique et se recaser dans son corps. La cabane de Sauna
sur le lac les accueille. Les dames à l’intérieur
leur font signe de se mettre nues et donnent des gants de crins pour se laver et
des baquets d’eau savonneuse et hop dans la grand chambre chaude aux pierres brulantes.
Des espaliers comme ceux que l’on voit dans le poulailler de chez nous chacune s’assoit les dames aux rires permanents indéffrisables leur montrent comment se fouetter de branches d ‘érables argentés pour supporter la forte chaleur.
Pierres chaudes
sous gouttes d'eau.
Vapeur.
Des espaliers comme ceux que l’on voit dans le poulailler de chez nous chacune s’assoit les dames aux rires permanents indéffrisables leur montrent comment se fouetter de branches d ‘érables argentés pour supporter la forte chaleur.
Les dames du lieu rigolent de nous voir
suffoquer et au bout d’un moment elles
nous précisent dehors , nous pousse dans un trou fait dans la glace du lac.
Cris et rires. Tout est supportablement bon. Odeur de rennes grillés appâtent leurs papilles. Tout ce beau monde au couleur rouge, fourrures, grelots au toque, couteau, épaisses tartines, la viande grillée, des brioches , thé fumant épicé ;
Cris et rires. Tout est supportablement bon. Odeur de rennes grillés appâtent leurs papilles. Tout ce beau monde au couleur rouge, fourrures, grelots au toque, couteau, épaisses tartines, la viande grillée, des brioches , thé fumant épicé ;
replacer de la neige plus de femmes une table de bois un horizon plus dégagé des arbres...
Un
traineau de 8 rennes arrivent et la matrone du groupe les invite à grimper ,
les conduit à la nacelle qui méne au
domaine des 44 hectares
du père Noël.
Alors
autre décor des 100aine de poupées, polichinelles Pinocchios des arches de Noé d’animaux
en peluches , des trains, de grues bateaux , là babouska comprend pourquoi les ressourceries n’enregistrent
les dons qu’en kilos . Comment pouvoir tout détaillé ?
Elles
s’assoient, se font oublier. Trop de mots à entendre .Les pleurs de l’abandon
dans les placards après avoir été vendues sur eBay , avoir encore était oubliée. Le peu d’attachement
que les enfants portent à leurs jouets . Un jouet par jour : comment s’attacher? Vraiment! Par contre les colères ,
les caprices : c’est le bataillon des jouets qui sont à rudes épreuves.
L’une
dit :
moi c’est ma dernière chance après si je repars au placard , je fais péter ma pile à l’intérieur, je me fais bombe, je fais tout cramer .
moi c’est ma dernière chance après si je repars au placard , je fais péter ma pile à l’intérieur, je me fais bombe, je fais tout cramer .
une autre enchaine :
« Ils parlent d’économie ,d’écologie pour les autres ; leur famille fait exception."
un peu plus loin
" Et ces gosses, largués aux écoles presqu’encore en pyjama et qu’on reprend à la dernière heure pour mettre en pyjama.le temps du jeu des calins , des confidences : wallou !!!!
« Ils parlent d’économie ,d’écologie pour les autres ; leur famille fait exception."
un peu plus loin
" Et ces gosses, largués aux écoles presqu’encore en pyjama et qu’on reprend à la dernière heure pour mettre en pyjama.le temps du jeu des calins , des confidences : wallou !!!!
Un des Pinocchios :
"le nombre de fois que l’on m’a coupé le nez , mais dés que l’enfant mentait, il repoussait, alors un jour, j’en ai eu marre, j’ai pris les tenailles , je me l' suis arraché. Bé après, c’est mon ventre qui s'est mis à gonfler de vent "
Alors un poupon à la lunette ronde répond :
"le nombre de fois que l’on m’a coupé le nez , mais dés que l’enfant mentait, il repoussait, alors un jour, j’en ai eu marre, j’ai pris les tenailles , je me l' suis arraché. Bé après, c’est mon ventre qui s'est mis à gonfler de vent "
Alors un poupon à la lunette ronde répond :
-"
oui, c’est çà déplace un symptôme il se développe ailleurs.
- Ah ! dis donc
poupon la science :
poupon la science :
- Pas de mérite, le poupon des analysants chez un grand psychanalyste bordelais hôtel particulier, sur le divan quand les mots ne venaient pas ou venaient de trop le docteur balançait le poupon comme on aurait donné la têtette, la sucette au patient ou à la patiente : mot technique - forcer la régression , dénicher le refoulé- alors moi prendre ma retraite comme les vieux chevaux dans le domaine du père noël.Fini les border line, la perversion qui ne se couche pas , les névroses et l'ennui des obsessionnels, cette annonce est une aubaine. C'est fini. C'est fini.
- Pas de mérite, le poupon des analysants chez un grand psychanalyste bordelais hôtel particulier, sur le divan quand les mots ne venaient pas ou venaient de trop le docteur balançait le poupon comme on aurait donné la têtette, la sucette au patient ou à la patiente : mot technique - forcer la régression , dénicher le refoulé- alors moi prendre ma retraite comme les vieux chevaux dans le domaine du père noël.Fini les border line, la perversion qui ne se couche pas , les névroses et l'ennui des obsessionnels, cette annonce est une aubaine. C'est fini. C'est fini.
Les mamies
Oh ! dis donc pour une poupée, le designer, ils
ne vont pas un peu trop loin, on est loin de nos poupées de chiffons , au
crochet
poupée Mistinguett
au poupon la science :
-
çà c’est une idée, moi j’opte là dessus,j’en ai marre de leur monstruosité , la retraite au domaine du père noël.
"boabouska"
-
Nous avons à
confier tout cela au Père Noël, comme on parle de la fin du monde et si
on souffler non à la folie de la générosité tout zazimuth pour se faire pardonner d'être toujours brancher au portable, sénilité du Père Noël compensateur d'abération.
une mamie
un jouet par
enfant. c'est bien suffisant
une autre
C’est
conceptualiser que nous devons faire.
une autre
Et remettre en route la belle énergie des
lutins , des petits mondes de la nature...
une autre
Quel
voyage Babouka : c’est le lupânar des merveilles que vous ayez eu besoin de nous.
Babouka
Tant
que la vie est là :
nous pouvons poser acte de résistance, tout peut commencer au berceau,conscience, conscience reveillez vous nom de Zeus ! Nos futures perles ,fini le gavage qui tue tout désir aux langes.
Les poupées
Et
enfin des mamies!
Pourquoi
on ne vous voit plus dans les maisons ?
une poupée
A mon premier service , ma première famille d’accueil ,oh! là, là c’était chouette d’être mis en scène
par des grandes mères, on avait même notre place à table, on nous appelait par
nos prénoms, maintenant c’est la dernière Barbie, comme le dernier Hippone
les poupées
Pitié !
les mamies défonçaient la porte où on ne vous reçoit plus.
Clochettes, cloche la navette.
correction au retour du marché
correction du soir faite
auteure frankie Babouska.
correction du soir faite
auteure frankie Babouska.
de sollee
RépondreSupprimerTu as beaucoup écrit sur ton blog et c'est vraiment bien, on voyage, on s'y voit et c'est plein d'étincelles de toi. J'ai particulièrement aimé "Frankie violoncelle", merveilleuse image...
Les petites promenades, souvent dominicales, que je fais chez Frankie Pain la bloggeuse me font sortir de mon cadre un peu trop quotidien et c'est une vraie récréation, une vraie re-création, merci pour cela.
J'aime bien ce texte. Il dégage une belle ambiance, les descriptions ne sont pas lassante, les mots volent et ricochent d'idée en idée, sauvegarder des pensées arrachées à l'oublie... Oui, j'aime beaucoup.
RépondreSupprimerL’histoire du symptôme baladeur de Pinocchio : c’est excitant !
RépondreSupprimerJe sens que je vais développer un peu dans un prochain Post (de l’Avent justement) : où donc peut-il aller se nicher ce fameux symptôme de Pinocchio ?
Je me permettrai de vous citer, Chère Frankie, si vous n’y voyez pas d’inconvénient.
Je vous embrasse en attendant.
Jean-Pierre
Quel beau voyage Frankie...tu racontes tellement de choses si justes , si belles...
RépondreSupprimerj' aime ta façon à toi de voir notre monde , j' aime très beaucoup , car sans en avoir l' air tu en as la chanson...:-))
C' est drôle après t' avoir écoutée je me sens moins seule.:-))
Plein de bises sur tes deux joues...des vraies comme dans l' temps..!!
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