C'est fini 0004

 

C’est la fin

Qui eut pu savoir cet homme superstitieux ?

 Nous allions  rentrés dans notre 13 éme année.

La forme très expressive :

« Merci de votre incompréhension. »*£

 

Je me rappelle avec quelle difficulté,

 J’avas eu à interpréter Thomas Bernhard.

6 mois de répétitions : juste, juste pour la première.

Il lui  l’adore.

Moa je le respecte pour le combat qu’il a mené

 Contre son propre pays pour les va et vient avec

 L’Allemagne  nazie.

 

Je vais vite assise sur ma valise, gare de l’EST

Je viens de réaliser  cette épistolière relation de qualité

A recevoir son livre : What the beef ?. 

Tout effacer de nos échanges,

Sans changement climatique annoncé, Tsunami, ouragan

Volcan en fusion. Niet. Saucisson sec sans olives Marquise.

 Même le texte sur lequel  j’énonçais mon non contentement de sa parole à son sujet. C’était un fragment dans son art. Tout. Pas une virgule en trop.

Une hymne à ce vécu de grande aimance *2

 

Je me rappelle la lecture public de mon premier roman : « Sutures » accompagnée de Gérard Dôle*3 au violon et accordéon, sa nièce à la guitare

. Dans la coure du 23/25 rue Ramponneau 20eme

 à l’entrée des ateliers d’artistes

 Devant mon atelier d’écriture. Sous le Sycomore.

Public mixte 7O à vue d’œil.

 Autant de satisfaction hommes comme femmes,

 pareil pour «  L’eldorado de l’autre »

 dans une galerie d’art contemporain

 musicien  un Saxophone  Jean Claude Augé*4

 

Je suis autodidacte mon père en guerre,

 Ma mère  la guerre  ses obus contre Moa

 Dans l’impossibilité de m’émettre quoique ce soit …….

Un refus fulgurant de ma nativité.

On m’a souvent reprochée mes fautes de syntaxe,

Mes lapsus, mes orthographes sophistiquées et incompréhensibles

Et tous ces textes improvisés

sur mon smarphphone sans double

 à la poubelle . à la poubelle . à la poubelle .

Quelle pulsion ……………….. !   ?

 

Sur la base de the Door la musique

J’ai écrit ce texte, je vous l’offre, il enterrera  enterrer dignement une relation épistolière de 12 ans d’age.

J’avais confiance.

THIS IS THE END

 

Avances, Avances, avances

Emmêlés, démêlés, sangs mêlés, sans encre, sans  ancre,

 

Anse, danse, danse,

 Anse  potence improvisée en haut du châtaignier,

La flamme du bourreau Cochon, d’une Jeanne historique

La Duchesse,

Sons prévenir, sans sourcilier gare, ni somation.

Ah ! le pouvoir quand tu t’y mets,

 à quel prix pour l’autre,  Ca n’a qu’bn nom :………….. !

 

Nous étions aux équinoxes l’un de l’autre

 Nous pouvons ainsi être plaisants

Pas des vases d’aisances, ou d’équarrissage, de communication simplement subtiles stimulantes

Des bocaux de reciprocités

Tu rêves mémère la Ginette

 la girouette sans la geste de Larousse

 Sur ses champs opératoires

 

La mer du Nord et la Duchesse au Cap Horn.

Enquêtant sur son Peter d’autan

 Le linguiste des dialectes africains

Il lui avait demandé sa main.

Vit en Afrique du Sud

 

Enfourches le serpent dit – il l’apercevant le Peter

Dans le désert de l’Afrique du sud,

 

Enfourches le serpent Sa peau est froide,

Du sang froid te donnera.

Offres tes larmes à la nature.

Elle a si soif.,

 Cet épistolier était ; extraire tes larmes.

Bénédiction de sa force de son aptitude à…

te dézinguer

 Tout de bon……Un bondage de Marquis de Sade contemporain il se cachait à l’orée des bois…..

 

Chevauches, Chevaucheras, tu vas chevaucher

L’eau d’or,  le ciel des diamants

Mille arcs en ciel vert

Ne t’a-t-il pas toujours écrit :

«  rendez vous dans les sphères ». *

 

Ce porc épique, tout dehors pique,

Il n’apprécia pas Médusa pour finir

 le texte des Femmes, pas toujours divines,…..

Il prit le masque, d’un masque ancien

Il l’a sorti du bain des âmes….

Rappelles toi Lorelei ce qu’il te conta…

Ses dérivages.

Wagner se serait retourné dans la tombe

 s’il fut illustre, Lorelei  méritait tant autres choses….

Comme toi

 

Peter : ‘- tu as grandi, je vais t’épouser.

J’ai tant aimé ta langue sans jamais la juger.

Cuisinière si jeune dans ce château, 

Tu nous régalais chaque jour.

autant de tes mets que de tes mots

J’aimais t’entendre,

 je faisais la préparation des légumes avec toi,

j’essuyais la vaisselle ….

 Pour toujurs converser avec toi

T’emporter pour barboter  dans les carrières

avec Nous fils de Rupins ayant droit aux vacances

 Choisis par la châtelaine pour sa Duchesse

 de la Motte de la Tour Saint Jacques du Maine et Loire.

 

Non, tu n’as absolument pas envie de détruire quiconque,

 Il est de son propre piège,

Ses émotions lui ont tordues le cou.

 

Dans l’autobus bleu tu ne vas nul part.

Comme ta pièce où dramaturgie, tu titrais

« Pour en finir avec la fleur Bleue »

Festival Sigma à Bordeaux à la base sous marine

 

Baby, ma Baby Doll

La fin de ses sourires là, de ces pieux mensonges

 pour améliorer ta plume, être plus couverte

 Pour lui dont tu n’avais jamais rêvé sa femme

De plumes à plumes c’est Tout et l’Univers en sommes.

Il t’a fait grandir, rires

 Sous ton éventail les jours de grandes chaleurs,

Les rêves coquins

ton  pote l’Inconscient te faisait des tours,

Le flair plus affuté que Vous

Insupportables sensations,

 si elles sont là, elles s’expriment

 d’une façon ou du notre. D’une autre.

 

C’est la fin.

Les images des mots brulées sans protection ;

Un magazine en à capter des bribes

 

Porc Epique, l’homme à la peau de serpent

de Tennessee William joué avec Christian Vadim

Il t’avait choisi comme partenaire

L’eau dort : « Mefie - toi de l’eau qui dort » :

 Tes premiers prix à Venise

 Au Festival des pays latino américains

 

Le ciel aux dits non dits

Mille arcs de Cupidon

 en ce vert des arbres de Bavière

 Que tu traverses  dans ce train pour Vienne

 

Les anses dansent, dansent,

Ta bévue dernière te sauva

Ce que nous  écrivons  nous ne le perdons pas

Ca reste un repentir

Warum

La suite de tes mots te sera redonnée

 Ellipses comprises.

La main étrangère te saisit

Te demanda la main depuis notre premier slow

Warum nich, oui,

Ta langue fut dans mes recherches

 et me guida.toujours

 

Les rires dans la forêt, sur les rives du lac

 De Louis II de Bavière

Sifflements, cliquetis, , feulements

Pourquoi Blanchette t’a pas mis l’eau à l’oreille

Elle s’évade  du père Seguin, se fait mangeait pas le loup,

Le loup et le chaperon rouge non plus.

 

Dévorée il voulait.

C’est la fin

C’est la fin qui s’inscrit dans l’incendie de forêt

Les bruits de sa Remington

Les clochettes de ses biquettes

Quel bel enterrement

 

C’est bien çà rendez vous dans les septes

Non les sphéres v’la toa dyslexie.

 

C’est fini

A ton retour de Vienne

Je t’épouse à la petite église de Saint Germain des prés

 avec quelques auteurs dont nous partageons leur encre.

La littérature ne s’arrête jamais.

Dans une boite de Petrie, les mots exquintés

 vont t’offrir de jeunes pousses.

 

Remercie-le de sa Patience et

 sa duchesse lui laisse ses robes

sur les meules de foin de ses biquettes.

 

Beaucoup vont êtres tristes,

 Trop d’académiciens de ses amis,

 Tu les faisais sourire,

 C’est à un the à Johannesburg

j’ai réentendu parler de toi.

 

C’est donc sa fin

 

Pour notre retrouvaille.

Une chambre est réservée à l’hôtel le  Crillon

10 place de la Concorde.

Débarque  Dégraine, Détraine

 Je t’attends.

 

Bonne séance de photos. Le temps passe sur ton visage.

Ton âme est toujours aussi pure et Innocente.

Je t’aime comme au premier jour

 

Quand tu descendis la voiture de la Châtelaine à Durtal

 Avec ton tablier, ton sac de couteaux :

 te payer ton BAC

Tu fus capable de t’offrir la pire des maitresses

 Pour tes examens.

Tu as accompli ton rêve, même s’il t’a tué

 Dans ton corps tant tu t’es démenée.

 C’est  le deuxième round

« Je t’aime » ecrivit Peter.

FIN

Frankie Pain de la Mangou

Droits d’auteurs reserves 0004

1 O98 Sur 11 pages

*& le Marquis de l’Orée

*2 Aimance mot crée par Derrida

*3 Gérard Dôle

*4 Jean Claude Augé le saxophone Cardiologue , radiologue, directeur d’un hôpital au Congo tué dans sa mission 1988

 

Un vase Daum

Ce pourrait etre un Peter

Chevaux sur lignes de crpete en descendant

Frankie Pain