Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
samedi 9 octobre 2010
Le désir tatinabule in la r. "à volo, voli, vola du désir"
/William_Turner,_Light_and_Colour_ LA THEORIE DES COULEURS DE GOETHE
/Goethe-ginkgo-biloba. LA BOTANIQUE ; GOETHE LISAIT 0 HAUTE VOIX LE TRAITe DE BOTANIQUE à Chriastiane souvent elle s'endormait !
1978_ariane_mnouchkine_sous_les_sifflets
Goethe.
Christiane_Vulpius
Goethe+with+his+Secretary
Blesser un coeur aimant et se trouver contraint de garder le silence:
Les tourments ne pourraient être plus acérés qu’invente Rhadamante.
***
Kränken ein liebendes Herz, und schweigen müssen: geschärfter
Können die Qualen nicht sein, die Rhadamanth sich ersinnt.
(Goethe)
Blesser un coeur aimant (Goethe)
Le désir tatinabule
Dans l’innocence
L’homme invisible
Propre au désir de l’autre
Questionner son être
Tu te poses devant çà
Qu’implique cette ouverture d’un champ d’aventure
Posez le temps sur une tartine beurrée
Et faire trempette dans le café
Des questions.
Pourquoi ! Tout est dans la chaleur du silence
La lumière du petit matin
Jaune très clair comme
Le duvet d’une bergeronnette citronnée
Éclairage doux de la peau froissée par le pli des draps
Les questions nous seront toujours à les jouer
Comme séparer l’eau du petit lait
Avec la cuillère à absinthe de la vie
Dans notre cinquantaine nous sommes l’un l’autre émoussé
L’age chaque matin fait dépôt de sa douleur
Quelques remords
Entre 20 ET 30 ANS
Triplée les activités
Les trois huit
Manger la vie par la racine le cœur et la tige tirée vers le ciel
Choisir à ce moment là aurait empêché un Envol
D’où L’on est né il faut « tropler » les activités
Pour être un tiers de ce que l’on a désiré très fort.
Nous devons nous rassurer :
ce sont nos inconscients qui choisissent
Pousser par quelques ancêtres mains de fées .
Fée carabosse .
Sur un manque que l’on imagine que l’autre pourra combler
Un EROS inspiré et voletant derrière son épaule
CUPIDON en bloomer argenté .
Ce dernier dégaine allégrement sa flèche l
Là où il fera pétarader le bordel
d’une fête aux vertiges
avec les toros de fuegos
les bouquets rivaliseront la voûte lactée
L’adrénaline dans le petit wagon
des montagnes russes
Sueurs froides sous les tropiques
L’Alizé du cœur
Quel enfant gâté sera-t-il pour désirer un beau jouet
Pour s’en priver si rapidement ?
D’un beau joué .
Ou son bonheur sera si au comble
Que simplement savoir que j’ atterrie à Pamplume
À l’heure du thé :
’il s’affolera tellement
Qu’il menacera la tour de contrôle
pour ne pas faire atterrir l’avion.
Un héro qui n’a pas encore trouver son conte de fée .
Sa quête il la découvre.
La quenouille , elle la cherche.
Trouver un abri pour leur première nuit .
Dans le fini
Ou l’infini
J’ai un inconsolable dans mon cœur
Qui ne demande qu’à être consolée
Rassurée .
J’ai grandi.
J’sais même plus.
Il y a rien de plus inquiétant que la rencontre
La dimension d’absence
Est une posture que j’adore.
Maria Rilke dans « l’ange »
écrit : sortir du fini pour entrer dans l’infini
Pouvoir changer de croyance
Deux héros fragiles :
S’offrir à la source
À l’épreuve du bonheur d’aller nager dans une onde vibratoire.
L’autre jour Ariane Mnouchkine répondait à un journaliste
- « Alors le théâtre du soleil vous allez le quitter ?
-
Sa réponse
- je sens que mon temps de consolation est plus long
Je sens venir le temps »
Le bain d’amour me met toujours dans une belle émotion pour écrire des mots
Goethe disait après sa rencontre avec Christiane Vulpius,
il avait connu les grandes joies du corps avec elle à trente sept ans.
Le grand Monsieur de l’écriture disait d’ elle :
« son trésor de lit,
sa moitié d’orange. . . »
Elle était simple elle confectionnait des fleurs artificielles,
elle était venue demander une faveur pour son frère à Goethe,
Elle fut son soleil, la concrétisation de son voyage en Italie
La muse de ses élégies romaines.
Depuis cette rencontre Il confessa qu’il n’écrivait plus pareille
’il avait mis la sensualité dans ses vers,
il avait découvert le mystère des marbres de Rome.
Le meilleur endroit pour ses hexamètres
Les compter sur le dos de Christiane. . .
A suivre
Dans le Le désir tatinabule
Dans l’innocence
L’homme invisible
Propre au désir de l’autre
Questionner son être
Tu te poses devant çà
Qu’implique cette ouverture d’un champ d’aventure
Posez le temps sur une tartine beurrée
Et faire trempette dans le café
Des questions.
Pourquoi ! Tout est dans la chaleur du silence
La lumière du petit matin
Jaune très clair comme
Le duvet d’une bergeronnette citronnée
Éclairage doux de la peau froissée par le pli des draps
Les questions nous seront toujours à les jouer
Comme séparer l’eau du petit lait
Avec la cuillère à absinthe de la vie
Dans notre cinquantaine nous sommes l’un l’autre émoussé
L’age chaque matin fait dépôt de sa douleur
Quelques remords
Entre 20 ET 30 ANS
Triplée les activités
Les trois huit
Manger la vie par la racine le cœur et la tige tirée vers le ciel
Choisir à ce moment là aurait empêché un Envol
D’où L’on est né il faut « tropler » les activités
Pour être un tiers de ce que l’on a désiré très fort.
Nous devons nous rassurer :
ce sont nos inconscients qui choisissent
Pousser par quelques ancêtres mains de fées .
Fée carabosse .
Sur un manque que l’on imagine que l’autre pourra combler
Un EROS inspiré et voletant derrière son épaule
CUPIDON en bloomer argenté .
Ce dernier dégaine allégrement sa flèche l
Là où il fera pétarader le bordel
d’une fête aux vertiges
avec les toros de fuegos
les bouquets rivaliseront la voûte lactée
L’adrénaline dans le petit wagon
des montagnes russes
Sueurs froides sous les tropiques
L’Alizé du cœur
Quel enfant gâté sera-t-il pour désirer un beau jouet
Pour s’en priver si rapidement ?
D’un beau joué .
Ou son bonheur sera si au comble
Que simplement savoir que j’ atterrie à Pamplume
À l’heure du thé :
’il s’affolera tellement
Qu’il menacera la tour de contrôle
pour ne pas faire atterrir l’avion.
Un héro qui n’a pas encore trouver son conte de fée .
Sa quête il la découvre.
La quenouille , elle la cherche.
Trouver un abri pour leur première nuit .
Dans le fini
Ou l’infini
J’ai un inconsolable dans mon cœur
Qui ne demande qu’à être consolée
Rassurée .
J’ai grandi.
J’sais même plus.
Il y a rien de plus inquiétant que la rencontre
La dimension d’absence
Est une posture que j’adore.
Maria Rilke dans « l’ange »
écrit : sortir du fini pour entrer dans l’infini
Pouvoir changer de croyance
Deux héros fragiles :
S’offrir à la source
À l’épreuve du bonheur d’aller nager dans une onde vibratoire.
L’autre jour Ariane Mnouchkine répondait à un journaliste
- « Alors le théâtre du soleil vous allez le quitter ?
-
Sa réponse
- je sens que mon temps de consolation est plus long
Je sens venir le temps »
Le bain d’amour me met toujours dans une belle émotion pour écrire des mots
Goethe disait après sa rencontre avec Christiane Vulpius,
il avait connu les grandes joies du corps avec elle à trente sept ans.
Le grand Monsieur de l’écriture disait d’ elle :
« son trésor de lit,
sa moitié d’orange. . . »
Elle était simple elle confectionnait des fleurs artificielles,
elle était venue demander une faveur pour son frère à Goethe,
Elle fut son soleil, la concrétisation de son voyage en Italie
La muse de ses élégies romaines.
Depuis cette rencontre Il confessa qu’il n’écrivait plus pareille
’il avait mis la sensualité dans ses vers,
il avait découvert le mystère des marbres de Rome.
Le meilleur endroit pour ses hexamètres
Les compter sur le dos de Christiane. . .
DE Françoise Pain L'AUTEUR S'EXPRIME SOUS LE VRAI PRéNOM Françoise
A suivre
Dans le à volo, voli, vola du désir le week-end prochain
le week-end prochain
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MESSAGE POUR HERBERT , JE SAIS QUE VOUS VENEZ ME VISITER DE TEMPS EN TEMPS
RépondreSupprimervous m'avez fait éclater de rire ce matin avec vos citations
merci trop drôle
pas moyens de vous laisser un commentaire gros bious à vous et votre chat
Les arbres sont encore verts.
RépondreSupprimerLe temps si clément fait oublier que bientôt les frimas auront chassé les petits matins ensoleillés de l'été...
Une nouvelle saison s'invite dans ma vie.
Combien d'automnes se sont déjà installés dans ma vie ?
J'attend l'hiver.
Je suis dans un pays où le givre des petits matins frais est rare. Mais où le soleil du froid rutile sur les tuiles roses des toits.
Les ombres s'allongent le long du canal du midi, les péniches habitées se sont mises à l'hivernage.
Bientôt l'odeur de bois brûlé s' échappera des cheminées, jolies volutes blanches sur le noir de la nuit.
On s'aime aussi l'hiver et la saison devient prétexte à rester sous la couette.
Enlacés, la chaleur des corps met du soleil dans les draps.
Personne pour venir troubler cette langueur.
L'hiver est la saison des plaisirs minuscules...
Eh alors, Guten tag...Meine Dame...
RépondreSupprimerGoethe est ma tasse d'absinthe mais je ne suis pas Werter...
Et pourtant j'ai bu ce que tu viens d'écrire...
Et j'aurais dû en mourir...
Non point d'ennui, mais d'amour...
J'ai descendu l'escalier à l'envers.
Donc je l'ai remonté.
Mais tu dis si bien que je suis allé au-delà de la dernière marche...
Ailleurs, maintenant, j'attends la suite..
Bis Morgen ?
Je t'embrasse.
le chemin des grands jardins
RépondreSupprimerje vous double mon message laisser sur votre blog
pour des choses importantes je joue la sécurité
pour vous roger
"Coureur d'estran, je regrette de ne pas vous connaître davantage afin de vous soutenir dans votre refuge momentané d'une manière plus spécifique
Sachez que vous serez pendant le temps de votre convalescence dans la matière des mots que je choisi pour composer mes rubriques, vos land art me sont importante dans ma rêveries before écriture, quand je crochète pour détendre l'esprit j'ai l'impression qu'au bout du crochet c'est une influence de vos photographies
et quand vous écrivez coureur d'estran
Depuis des lustres l'amour m'a tournée le dos alors je dis à l'Univers l'Amour c'est la caresse du vent dans la crinière du cheval au gallot à l'estran de la plage.
RARE CE MOT EST Employé
à bientôt
J’ai inventé un jeu
le jeu du torchon pour donner des claques et des coups de torchons vers les mauvaises humeurs
Alors si vous souhaitez un jour de téléphone au téléphone nous pouvons le tirer c'est ludique
Radical, et draine les choses vers les hauteurs
cela me fera plaisir de vous offrir une partie
Je vous embrasse et bon moment de montage pour votre documentaire"
françoise
cher herbert, merci de votre lecture et de pas avoir suivi werther
RépondreSupprimerdiable il en a été responsable d'une drôle de mode ce livre
merci pour nous tous et toutes
vous savez moi aussi je suis impatiente de suivre le feuilleton du désir
mais c'est comme les hystériques avec tout le respect que j'ai envers cette névrose
mais dés que cette structure est "tracqué" elle va se manifester sous une autre forme
je fais "le petite péroquette de LACAN" j'ai fait mes classes ouh la la
oui je verrai si c'est souffle du large comme les immenses jardins du chemin de Roger
je vous embrasse chaleureusement
bravo encore pour vos citations d'HOLLYWEEOD
oh lala ! tu as mis une photo d'Ariane Mnouchkine !
RépondreSupprimerje n'ai pas pu lire ton histoire, je suis restée bloquée sur la photo d'Ariane Mnouchkine !
C'était en 2000 je crois, ou 1999... Non en 2000 je crois, j'avais été à la Cartoucherie, voir Tambours sur la Digue, une révélation... Je ne peux même pas parler de cette pièce... Si j'en parle, je vais t'crire un roman Frankie...
Tambours sur la Digue : une merveille de poésie, un enchantement, un ravissement.. Nous avions le cul sur des bancs de bois, c'était inconfortable au possible, une horreur, mais la pièce... Un jour qui a changé ma vie. Depuis, ma vie est intimement liée au théâtre, à la poésie, la littérature, le voyage ....
Ariane Mnouchkine était à l'entrée, elle déchirait les billets.
Toute cette poésie, cette musique envoûtant, angoissante, palpitante, si prenante, ces instruments traditionnels, ces marionnettes absolument fascinantes.. Ce que je dis est nul et dénué d'intérêt, je ne parle que par hyperboles ! Mais j'ai tant été chamboulée par Tambours sur la Digue...
J'ai repris le théâtre, je me bouge. La période noire de ma vie est révolu, je retrouve ce qui faisait ma joie de vivre de mes années d'adolescente.
Merci à toi pour m'avoir rememoré Tambours. Je me rappelle aussi de ces voiles en toile de fond, ce vent, cette angoisse à l'arrivée de l'eau... Les digues vont sauter...
Plus forte que Spielberg et Cameron Réunis; il y a Ariane Mnouchkine.
Du coup je reviendrai lire ton post plus tard, là je suis inapte à le comprendre, je suis trop chamboulée.
OUI, cette femme qui avait influencé mon premier metteur en scène, a influence mon art de jeu et je n'ai cessée de courir la voir, tellement elle était ma nourriture, je n'ai jamais pu travaillé avec elle, mais un jour dans un endroit très privé du cap ferret j'étais venue vérifié un lieu ancien sur lequel j'avais beaucoup écrit, j'étais avec mon amie photographe et une amie peintre, nous sommes passés devant elle , je fus la seule à la reconnaitre, c'est comme si je voyais un ange posé là .
RépondreSupprimerje suis allée me mettre dans les mimosa de la maison de mon écriture et tout en prenant mon cours d'aquarelle je guettai la marée haute et l'heure du bain, j'ai un peu triché sur le hasard et quand elle est partie baignée j'y suis allée , c'était un bain mythique et mon ami qui avait part mais demande à Ariane de veiller sur moi, comme nous avons ri de son innocence , nous savions l'une l'autre que nous connaissions et apprécions. UN JOUR JE LUI AVAIS ENVOY2 UN COURRIER POUR TRAVAILLER AVEC ELLE DANS UN STAGE, j'étais la seule à ne pas avoir de réponse mais trop engagé dans mes pièces de théâtre, je n'étais pas de la configuration des stagiaires
et elle me connaissait du cinéma
au retour mon ami très lunaire lui dit cela s'est bien passé ?
ELLE A excellemment barboté
il s'était drapé dans un pagne de Bali ET IL Commencèrent à parler, il ignorait qui elle , elle était ravie
c'est ainsi que je faisais découvrir son travail dans les pièces "les éphémères".
OUI, CETTE FEMME à DONNER AU Théâtre UNE GRANDE PUISSANCE sans cet élan là , je n'aurai si longtemps.
CELA ME TOUCHE DE T'AVOIR PAR CETTE M2MOIRE APPELER LA TIENNE
je t'embrasse très fort
ce matin je suis repassée pour lire ton texte, et comme d'habitude c'est extra, et en plus je t'ai imaginée au cap ferret en face de la mer, peignant tes aquarelles, c'est très frais, très vivant, beaucoup d'émotion, de candeur.
RépondreSupprimerEncore Merci