par rapport à la première parution il y a quelques heures.
pour ceux qui ont déjà lu*
merci
si cette histoire vous branche je vous mettrai les autres épisodes aprés le passage au deuxième jet
stage de mime à Saint jean de Luz en 1974
retrouvailles de la jeune fille grâce à mon blog
.....................................
J’arrive à la
chambre une voix de femme me répond : entrez .
Oh pardon !
Lui arrive
derrière moi me dit , j’espère que cela ne te dérange pas jamais
l’amour avec une seule femme en même temps , deux chez moi c’est le
minimum.
J’arrive à la
chambre une voix de femme me répond : entrez .Oh pardon !
Lui arrive
derrière moi me dit , j’espère que cela ne te dérange pas jamais
l’amour avec une seule femme en même temps , deux chez moi c’est le
minimum.
3
Il nous convia dans la baignoire de la
salle de bain de l’étage. Toutes les deux, ils nous savonna, rinça à la pomme
jet, nous étions debout. Dans ses gestes au bain aucune ambigüité :
c’était la toilette . Nous ne nous languîmes pas dans le bain. Ces deux femmes que nous composions , toi et moi, nous
étions chacune dans notre monde : notre futur nuitée avec lui. A peine si nous lorgnions l’autre. Je me rappelle de ta tête un peu boudeuse , les mèches
brunes rousses encerclant ton visage, çà respirait pas de l’joie. Evidemment
j’avais des petits gloussements de rires mais pour une fois dans ma vie, c’est
remarquable, mon robinet des mots était bien fermé. Comme si je réalisais qu’en
parlant, je pouvais faire s’écrouler dans
le souffle des mots mon château de cartes. Charlotte la taiseuse des
instants cruciaux est « couate ». Il nous envoya au lit avec une
petite fessée chacune. Cela me rappelait un geste que me faisait mon père
number two. Mon père « coulée -de - feuilles sèches- ». Lui était
resté habillé pendant notre bain . Il se donna la douche . Et enfin, il pénétra dans la pénombre de la chambre.
Quelques bougies offraient une lumière
tamisée au bord de l’obscurité . La danse de la flamme me donnait la
sensation du gite d’un bateau -petite coque - perdue entre deux îles quand le
vent-coiffeur frise - brise l’eau. S’ajoutait pour moi , la première fois d’un
culot colossale d’avoir affirmer mon désir aussi fort, d’en avoir entrepris
l’escalade jusqu’au bout. Je posais mon pied sur mon Everest aux neiges
éternelles auburnes. Il quitta sa chemisette de coton coloré, le pantalon
glissa , le bruit du -tissu ondulé- sur le plancher . Il chevauche mon corps , s’installe entre ces deux
princesses de la nuit de la crique. Nous y allâmes qu’une fois à la crique
durant le stage. Les soirées étaient ordinairement de faire des spectacles
improvisés pour tous les stagiaires alternant sur scène de 20 heures à 23
heures , les personnes de la ville y
étaient conviés .
Dans son lit.
Le vent s’était levé, nous entendions les
caresses du vent dans les arbres. Mon cœur faisait boum-boum à éclater dans la
poitrine. Il se pencha vers moi, me demanda si je voulais commencer:
« Occupe toi d’elle d’abord ». Aucune politesse en moi. Ma petite
expérience de l’homme je savais qu’un
homme par déduction, si son minimum est deux femmes : c’est un fusil à cartouches. Un homme n’aime
pas se montrer dans une panne de son coucou et de réserves vides. Après je me disais qu’elle …. ……, nous serons plus tranquille.
J’avais observé que le deuxième service
à Dame nature cela durait plus longtemps,
sans en réduire la tonicité .Et, j’aime les longs séjours dans ma grotte , la
prosodie de nos intimes chantant , la
naissance de grappes de transes oniriques . La vaste bibliothèque d’Alexandrie
du cinéma scoop dont mon corps à l’art de me surprendre, m’ébahir chaque fois que l’homme de sa flute si prêt du souffle humain et
de la caresse des anges ébroue les
vrilles de sa vigne au tabernacle de mon sacré.
Il m’offre une cigarette d’herbes à l’odeur de
miel « pour attendre délicieusement » dit-il.. Parfois dans mes fêtes à la ferme de Villefranque sur
la route entre Ustaritz et Bayonne, j’avais gouté de cette chose aux
insolites évasions. Quelques bouffées :
un mille de fourmis éveillent le frison . Il s’insinue partout : plis
et anses du corps. Je voulus prêter aucune attention à la bête du Gévaudan qui « s’épreignait »
de la jeune agnelle . Cette femme ne faisait pas partie de mes copines. Je
rêvais cependant à sa délicatesse envers
elle, elle me semblait bien jeune. Elle devait être sa petite amie. Elle était dans les lieux. Elle avait du s’y
faire : « çà ou rien ». Phénomène. Figure imposée comme en
patinage artistique. A la glisse Divine.
J’étais là que
pour toucher ses belles fesses bombées al dente
du Caruso et Cuirassé Potemkine . Promenades du plein et du délier de la
main. Sculpteure en grès à cette époque j’étais
. Comme mes bouts de doigts étaient vibratiles : des cils de la paramécie
pour se déplacer. Sur : cet
athlète danseur, émérite, facture : afro cubaine,
puissance de la nature, sculpturale comme notre Homme le plus rapide du monde.
Tout mon corps comme des papilles gustatives devant une salade de poulpes et de tomates séchées cuisinées à la méditerranéenne éclatent en
taureau des fuegos dans ma bouche.
Stage Isaac
Alvarez de Mimes nos corps dés le matin dans l’exercice de la souplesse sur la
plage , la traversée des masques de la commedia del arte, les éléments – pluie
, vent , soleil, eau- , les animaux. Dans l’attente le corps fait des solos de
danse à la Pina Baush en partenaire
avec les feuilles de l’Orme de la cour aux prises de l’étreinte au vent.
Il se tourne
vers moi. C’est mon tour de grand manège. Ce beau corps, ce bel Homme -acajou –
marronné - foncé - à Charlotte , la Bas bleue, Carlotta c’est pour
toi . Aïe ! « Comment tu veux faire ? » Quelle question
embarrassante! Je ne suis pas du céleri rémoulade, remoulue à tout savoir de
mon violoncelle. Alors, je vais au début de mon désir : « toucher
vos fesses, et une grande balade sur
vos plages de sables volcaniques, vous :
Santorin corps ». Parade tactile du cirque
« la crique ». Plein
air , bruissement de nos peaux comme un
fauteuil juste vieux qui commence à
peine à couiner. Ce que sa peau est douce et tendue comme un très bon tamtam
royale.
(suite )
texte de Françoise La Mangou de l'ïle des p()ins
les images qui m'ont inspiré pour offrir du picturales aux mots
vos choix
1
3
4 chute on tourne
5 comédie musicale
6
7 circonvolution
8 Le Cloney des Equateur et Alizées
9 la-es très jeunes filles
10 l'attente de son tour
11
12 le serpent vert de goethe
13 le trio et la flamme
12 l'onirisme di coïtus
13
14 pas moins de deux c'est mon minimum
15 mes papilles gustatives
16 Marceline La Pouffe de l'homme noir ou blanc les même support
belle journée de ce musée de saint jean luz
see you soon
frankie
Un moment d'évasion rare... Les images sont évidemment un plus, mais le texte m'a plus d'une fois fait sourire. Merci!
RépondreSupprimerL' Etna, le Vésuve le Stromboli et quoi encore!
RépondreSupprimerFrankie, pitié, il fait plus de 40 à l'extérieur et les violoncelles brûlants appellent la fraicheur!!!
RépondreSupprimer@ Manouche et Giné
mes deux chères lectrices et vous n'avait lu que le premier jet je viens de faire mes corrections
merci de vos retours cela m'encourage
c'est toi qui dit hier manouche que l'écriture cela doit être du beau j'ai suivi ton cher conseil...
et Giné avec le cadrage de ce matintin et c'est une de mes sources d'inspiration
rien ne se fait seule Il nous faut des muses
je vous embrasse chéres lectrices.
Coucou Frankie,
RépondreSupprimerUn peu hot, mais c'est de saison ! ;-)
Vous qui aimez les photos et partagez sans compter, je vous offre les miennes, là:
http://per-bast.com/
Bonne journée et comme l'été fait du bien...
Fany
Il n'y avait pas beaucoup de mime dans tout çà. C’était un stage de vie et beauté éblouissant.
RépondreSupprimerNat
@ Fany
Supprimerje viens de vous lire et déjà des images m'inspirent
je vous remercie de votre charmant retour nous avons même si nous savons ce que nous écrivons de lire des retours de lecteurs où lectrices car c'est aussi pour eux et leur plaisir que l'on écrit
et merci
pour vos photos
car je ne suis encore douée par elles
et je mettrais bien évident vos références du blog et votre nom
lamangou@yahoo.fr pour votre signature de photo
merci d'avance
pour tout et je m'installe à votre table car votre paté c'est le paté que nous faisons à la ferme en Charentes Maritime, il n'y a que le hachoir qui a changer de configuration
@ Nat
oui excellent retour qui fait chaud au coeur et très very good point of vue!
à bientôt Nat