COLLOQUE INTERNATIONAL :
« AHMADOU KOUROUMA : UN ECRIVAIN TOTAL »
A l’Université de Cocody/Abidjan, les 18, 19 et 20 Septembre 2013alors je vous ai chercher des trait de sa langue à travers dses romans
« Excité
comme un grillon affolé » p. 14
« Impoli à flairer comme un bouc les fesses
de sa maman… » p. 108
« L’esclave appartient à son maître ;
mais le maître des rêves de l’esclave est l’esclave. » p. 145.
« Excité comme un grillon affolé » p. 14
« Impoli à flairer comme un bouc les fesses
de sa maman… » p. 108
« L’esclave appartient à son maître ;
mais le maître des rêves de l’esclave est l’esclave. » p. 145.
« Un enfant n’abandonne pas la case de sa
maman à cause des odeurs d’un pet ». (p. 18).
Autrement dit, quelle que soit la condition, un
enfant ne doit jamais abandonner sa mère ; il doit toujours être à ses
côtés.
« Un pet sorti des fesses ne se rattrape
jamais. »( p. 28)
«
Le chien n’abandonne jamais sa façon éhontée de s’asseoir. »(p.
«
On suit l’éléphant dans la brousse pour ne pas être mouillé par la
rosée. » (p. 173)
Kourouma
écrit : « Ils se sont
partagé la richesse ; ils
se sont partagé le territoire, ils
se sont partagé les hommes. Ils
se sont partagé tout… »
pour décrire la peur qui
l’envahissait face aux rebelles armés jusqu’aux dents, Brahima affirme :
« … mes lèvres tremblaient comme le fondement d’une chèvre qui attend un
bouc. »
je suis preneuse de proverbes africains
bon lundi et début de semaine
Je me rappelle de celui-ci : "Lorsque tu ne sais pas où tu vas, regarde d'où tu viens". Il m'a déjà servi !
RépondreSupprimer"Si tu avales une noix de coco c'est que tu fais confiance à ton anus"
RépondreSupprimerBon souvenir de Cocody.
J'ai adoré lire Kourouma, même si parfois il m'angoisse jusqu'à l'insupportable! Beaucoup d'expressions - que j'utilise encore - ramenées du Burkina, mais pas de dictons, en tout cas, je ne m'en remémore pas (?).
RépondreSupprimerEh, oui, Frankie, j'ai été à Ouaga pendant 4 ans, juste après le coup d'état qui a fait tomber la Haute Volta ... Je connaissais bien Bobo, et j'aimais beaucoup cette ville, moins austère que Ouaga. On aurait pu s'y croiser, à quelques mois près!
RépondreSupprimerUn auteur que je découvre grâce à toi!
RépondreSupprimerMerci ma belle de ta visite et de ton adorable commentaire, c'est toujours un plaisir de te lire!
Bisous, bisous et douce nuit
Un auteur que je ne connaissais pas, je vais voir si je peux le trouver ici.
RépondreSupprimerMuy curioso como siempre. Un beso desde Murcia.
RépondreSupprimer