Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
samedi 27 février 2010
Tiré à 4 épingles- juste l’instrument- pour la journée de la femme(suite)
Aglaé cette adorable romantique rock and roll ne peut pas changé sa graine
sauf la laisser dans son écrin et apprendre les techniques -(d’observation pour dénicher des mises en leurre très néfaste pour l’identité de sujet de l’être ainsi connecté )- toujours évolutives de maître loup qui a la trace du collier,
ils sont redoutables les 4 épingles, les rois du dénis, jamais en faute . (suite)
ils savent les règles essentielles à leur babille babiole babiolle galopante
Sans maquillage, sans parfum,
la douche avant, çà leur est moins utile que celle de l’après .
la « sagouinnasserie » la saga de l’homme marié trempant zézette
Désolée de vous parler de ma petite Aglaé je n’aime pas la voir pleurer ni souffrir, ni Brigitte, ni Aimée,
Et j’ai repensé à elle,
hier quand dans un magasin ,
j’ai vue une femme superbe qui se regardait, elle était belle à ravir , elle ne disait que des choses noires, il lui avait dit qu’elle avait un « tête d’égout » . Un homme de 59 ans, elle quelques années de plus . . . il n’y a pas d’age pour un « loozer » amant azoté
Je suis restée à l’écouter parler avec sa copine et j’ai vite rentrer en communication et je fus au fond de la question très vite encore une petite Aglaé cette femme était en danger
L’histoire on n’a pas besoin de la savoir dans le détail ; Elle se réédite à l’infini. c’est si bon d’aimer à 4 épingles,dans la paix , la joie, la sérénité, la confiance, la main dans la main, le respect réciproque même si c’est bêta de l’écrire . LE VIVRE A TOUTE LETTRE.
Un jeune homme avait dit à sa jeune fiancée (Mywell) après qu’elle lui avait confié qu’elle avant été violée en sortant de sa garde, et bien le fiancé lui avait dit :
« tu as appartenue à un autre homme, je ne peux plus t’aimer »
et sur le champ il est allé s’installer chez sa maîtresse.
La fin n’était d’un bon scénariste et la glue de lui il avait fait le « Torrékagnone larguant sa soute de malpropreté pétrolée » ou si vous préférez sa bave de crapaud crapahutant sans âme les gazelles,
Lui ce reste ce mouton dans sa bourgeoisie, sa bergerie et sa dame
qu’il soit logique sur le salaire de madame « enquillage » du bugjet de ce qu’elle ne fait plus
qu’il aille voir ses dames « péripapapénissienne » la seule différence pour eux c’est l’économie et pour son narcissisme c’est plus flatteur , et c’est pour cela que l’hôtel c’est le point de réel et l’argent de l’hôtel en plus . Alors « LA passante »
Comment peut-on être en désagrément de douleur pour une fausse donne ; c’est une ineptie .
(suite)
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