Les blogs font dodo
Les hollidays sont là.
J’écris pour ceux qui restent
Autre médaille d’or,
la visite d’un cambrioleur.
je remercie les abus de faiblesse
Car quand le mec me demanda ma carte
pour aller voir à la banque et me réclamait mon numéro intime.
Désoléee , je ne le donne jamais.
Tous les abus de faiblesse depuis ma sortie des Hôpitaux ont fait cumul, et tenue.
A j’étais belle debout gardant ma panique en moi
ayant envie de lui taper dessus,
inutile geste c’était un molosse.
si tu attaques tu dois être à même de maitriser l'autre.
J’ai joué la prude, à c’est vous, mon voisin du dessus,
quels bruits avec vos travaux… ect.
Il
parlait des autres cambrioleurs pour émousser ma peur, ma panique.
A part ma douleu, je n’ai plus peur..
Autobus, taxi. Transferts de l’un à l’autre. Ca me rassure.
Il n’était mon voisin , mais le cambrioleur lui-même.
Ma
gardienne s’est interpelé avec lui il se faisait le numéro en face de mon
ateleir. C’était la même description.
J’ai transformé les caches.
Les lieux improbables.
Autre médaille d’or..
L’escrime cette nuit je crois , trois autres médailles d’or.
C’est beau leurs émotions, leurs larmes.
J’adore ces émotions.
Tant d’années de travail.
Il y eut des médailles d’or dans ma vie
celle d’un compagnon.
4,70 au rappel.
L’Une a Tokyo.
Il a arpenté les mers..........
J’ai une immense pensée pour lui.
Et ses équipes.
Après il fut l’entraineur de l’équipe de France.
Il me confiait parfois ses athletes pour la visualisation .
IL remarqua dans mes préparations de rôles,
je faisais comme certains exercices qu’il enseignait.
Il n’avait pas le langage pour les femmes parfois
il me les confiait le temps accéder à…..
De
la sophro. Un Breton.
J’étais soufflé de la confiance qu’il me faisait..
Il était convaincu, il m’avait vu me préparer
pour certains rôles
il m’avait accompagnée sur quelques tournages.
IL était convaincu plus que moi
que je pouvais l’aider dans son coaching.
Nous avons toujours une petite histoire
qui nous reveille des grandes émotions.
Il est partie là –haut
je suis sur qu’il navigue avec un masque
au-dessus des compétitions.
C’est une grande âme.
Le sport oblige en l’être, même en compétition,
une « droiture ».
Palabre du jour
Tendresse chers lecteurs et lectrices .
Paris est dans un grand pointillé de soleil.
Un coup dans l'aile au secours !
Mon chauffeur au maroc dans le film "IL était un fois dans l'oued"
alors pour ceux qui vont prendre le train...
Nouveau sur l'êle de Ré
pendant la seance de maquillage du dos.
Scene très renoir.
Mon rôle mes trois filles.
De très belles nanas actrices vous devez les recontres.
Pour un banque en Asie
Bye bye chers lectrices et lecteurs
Un mot en passant:
RépondreSupprimerIl n’y a plus de portes dans les murs, plus de ponts sur les rivières. Entre les pour, les contre, les contre du pour et les pour du contre, nous prenons nos peurs pour des opinions, et nous nous rapetissons dans nos peines. Chacun pour soi, chacun chez soi, nous ne faisons plus que subir et nous débattre dans la tristesse de la séparation. Il est là, le vrai virus, caché dans cette cave du cœur où nous oublions notre commune humanité. Au delà de nos idées, de nos croyances, il est grand temps de revenir à ce qui nous fait semblables : La vie, la chaleur de la vie.
Nous ne sommes ni nos idées, ni nos croyances. Nous sommes beaucoup plus que cela. Nous sommes des êtres vivants peuplés de joies, de peines, d’émerveillements, de mémoire, de rêves et de cauchemars, d’élans et de désirs. Parlons donc de tout cela qui nous unit, c’est la meilleure façon d’éloigner ce qui nous sépare.
Tout au long de mon existence j’ai tenté de servir la vie. Je ne peux donc qu’essayer encore et vous dire mon sentiment. Le mauvais temps que nous traversons doit nous apprendre à grandir, à créer partout où nous le pouvons des oasis de fraternité plutôt que des champs de bataille. Je vous le dis parce que je sais qu’au fond nous en rêvons tous, et que nous n’avons pas d’autre choix que de cheminer vers nos rêves.
Je vous embrasse H G
H G (c'est qui ?) parle d'or en parlant de ça ni terre ni ciel, juste entre les deux.
RépondreSupprimerEntre gens qui rient et gens qui chialent, il y a les gens qui sourient en contemplant le bordel ambiant ! Le monde est en plein virage, accrochons nous les uns aux autres pour ne pas chavirer.
Gros bisous Frankie, j'adore ton look, et ton écriture m'inspire ;-)
Jechoisis de te repondre sur ton blog a tres bientot Tilla .je suis dans mon lit .je t embrasse tres fort frankie.
RépondreSupprimerFrankie, je suis un oiseau de nuit ! Merci d'être allée monter les marches de mon grenier pour me rappeler le talent de conteur d'Henri Gougaud.
RépondreSupprimerJe me souviens parfaitement de ses émissions sur France Inter (pas de télé chez nous, je préfère la radion les images sont meilleures ;-))
Belle nuit, chère amie, fais de beaux rêves.. et "à demain si vous le voulez bien bien" :-)
Bel oiseau de nuit, apparemment monsieur le conteur Gougaud a ravi depuis longtemps vos oreilles.
RépondreSupprimerCe le fut un moment jusqu'au jour après avoir conter en public la veille avec un très grand succès dans la réception sur la joie du public, le lendemain je passais ce conte à notre atelier et je déclenchais chez lui... une hargne verbal
jusqu'à « ne pas être une femme.
pour être conteuse pas la peine d'être ethnologue, comédienne, ect »
nous contons avec qui nous sommes et nos études n'ont pas à être rogner.
Il le crie dans toute ses conférences.
bref
Heureusement que j'vais bien travailler en psychanalyse autrement je lui aurai fait » pi sur 2 » à sa trombinette de dessous le nombril.
.
Je n'appartenais pas à la moyenne referentiel du groupe, je gagnai ma vie avec l’art d’interprète et j’aurai à mon dire du conte les qualités de mon appareil phonique.
Je continue à lui reconnaitre des qualités alors de temps je e ressource à ses petit billets.
J’ai la tête fatiguée , mais dés que je retrouve de l’énergie je vous joindrez le lien je vous embrasse chaleureusement Tilla
Je vais acheter une trottinette et préparer un hold up. Je compte sur toi pour cacher les diams dans ton turban...
RépondreSupprimerTu es superbe en mère du déjeuner sur l'herbe !