jeudi 1 juillet 2021

le marché de vannes avec les calnques grecques

 


-         Le marché de vannes quel bonheur.

-         Ces odeurs  d’iodes, de poiscailles, de crevettes, la vue qui elle est alléchante aussi.

Les anguilles se glissent comme les anacondas d’Amazonie dans leur baquet  couleur interne de paroies bleues  turquoise. Cela fait ressortir les verts , les verts jaunes de l’anguille. IL y en a pour faire sauter dans la poêle au persil et à l’ail et celles pour la chaudrée.

-         Tiens si je croise l’homme au pantalon de golfe, je lui proposerai de lui faire une chaudrée d’anguilles. Je suis sur que dans son jardin il a des herbes aromatiques persil, thym, laurier, ciboulette,  romarin. Un bon vin rouge de sa cave.

Je sens déjà mon tablier sur les hanche. L’aiguisage du grand couteau sur pour porter des pantalons pareils, il a un grand couteau.. Avec une pince qui retiendra un morceau de peau, je tirerai fort de l’autre coté. Je déshabillerai la grosse anguille.

Au hachoir je la mettrai en parcelle.

Je lui donnerai un bain de bon vin toute la nuit.

Il viendra me chercher le lendemain à mon monastère pour les finitions du  minotage de la sauce.

 Avec des tiges d’ail nouveau.

Je ferai grillé du pain frotté à l’huile d’olive frotté à l’ail .

Au moment de servir je déposerai chaque morceau sur le bout de pain comme des iles de la mer rouge.

 Des pommes de terres en robe des champs cuites avec du thym et gousse d’ail en robe aussi.

Je rêvassais à tout çà et j’entends dans mon dos.

 

-         -La gamine, j’en achète un kilo.

Je me pince, je me donne deux paires de claques un coup au front.

Il me caresse les joues,

- mon enfant vous ne devez pas vous mettre dans un état pareil.

-         Je rêvais Monsieur du Golfe à vous cuisiner une chaudrée d’anguilles.

-         Je rêvais à vos talents culinaires sans que vous m’en ayez entretenue.

Vous vous faites mal,

 

-         Je me réveille cher Monsieur du Golfe.

 Il fait le tour du chariot, elle le voit oh ! Seigneur son Pantalon de golfe aujourd’hui estt peint à l’aqurelle il représente des ciels de traine

 

-         -Bon alors les amoureux , ce sont les derniers gros morceaux  c’est votre  tour,  mais pas après un tour du Monde.

-         -oUi un kilo et  un kilo des petites.

 Vous n’auriez pas quelques 3àà grammes  piballes ?

-         Desolé ce n’est pas la saison.

-          

Les paquets sont faits il les loge dans le sac derrière mon fauteuil et nous partons vers mon marchand d’huitre aux yeux bleus à l’entrée du marche couvert;

-exceptionnellement vous pouvez m’en ouvrir une douzaine,

-Dans votre état comment puis je vous refuser. J’ai pensé même en ne vous voyant pas que vous étiez parti fleurter avec les anges.

Il était déjà occupé à les ouvrir. C’est exceptionnelle il n’y a qu’à vous que je fais cette exception.

-je règle dis le monsieur, oui allez vous installr je vous mets la douzaine fermées dans vos sacs du fauteuil et je porte le cajeot.

- Vous en mettez trop.

-Non c’est mon cadeau de vie pour elle. Elle a du avoir un cancer et tout ce temps là, la fin était une fin de partie. quune Une nouvelle vie il verse quelques larmes

 alors : à vous deux.

-vous voyez les cieux

Je l’aime beaucoup votre amie.

Il lui tend le plateau de deux douzaines d’huitres et un citron.

Abigaël était sortie du fauteuil  avait commandé un seau de glacee et de vin blanc, au viet- namien elle avait fait grillé des crépinettes qu’elle avait acheté sous le marché de la cochonnaille.  La baguette n’attendait que leurs quenottes.

L’homme au pantalon ; ciels de traine la dénicha très vite sur le banc devant la galerie de peinture. A se demander si nous aviez été dans les années 8O si elle ne faisait pas une performance.

Où était le tableau ?

L’homme du Golfe se tend vers ses lèvres, ne les touches pas les hume comme un vin millésimée.

Il sourit et dit « l’arbre à thé ».

Les gens commençent à sortir les Smartphones.

 

-S’il vous plait je sers le 7eme art. Incognito.

Vite elle s’était vêtue d’un shako en harmonie aux couleurs de sa robe.

C’est dommage pour moi , vous êtes si belle.

Vous vous devez à votre public.

Elle quitta le shador . La galerie gentiment vint leur offrir un paravent japonais.

C’était rigolo , les plus curieux détournés l’obstacle. C’tait des rires. De la dégustation des huitres de l’ostréicuteurs aux yeux bleus.

-Abigaël quelle joie ! Ces « mais » délicieux j’ai jamais autant aimé les « mais » ;

 

Vous jouez bien avec les mots.

- C’est pour eux que je suis né.

Abigaïel nous étions fait pour nous rencontrer.

- Je parlais  en sortant des vulves de ma mère.

-Sacrée entâme de vie çà.

A qui le dites-vous,

- Vous aviez connu de nombreux dangers avant même de naitre.

-Pour un Capitaine de la Marine Marchande !

 C’était un métier d’emprunt. N’est ce pas ?

-Pour la grande tâche que l’on m’avait confié .  OUI.

A suivre

Frankie Pain de la Mangou De Conleau

Droit d’auteur reserves

 


vers l '
île d'arses

un autre cancer parti

l'Alliens Pirnhas  est parti.

un decor de pantalon de Golfe dont vous avez echappé

bises à vos chers Lecteurs et lectrices

à bientôt la suite
 

9 commentaires:

  1. Cruelle tu me mets en appêtit moi qui vais diner d'une vieille boite de sardines !!!
    Bises

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  2. Ecrire la fiction Ui a un gout d une vraie chaudree ce midi , c etzit parmentier de sadine au piment hyacinthe.
    La fiction t en connait un rayon autznt que moi ma belle. Ma cuiskniere etait en panne et pendant deux jours des restes de pain et du fromages. Comme quoi ça excite le babines . Ravie de t avoir existé les babouines .merci ma bella Manouche

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  3. L'eau à la bouche... moi, si loin de la mer... Une fiction alléchante, Manouche a raison!

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    1. Les pouvoirs de la fiction . Tout etait en panne je mangeais du pain sec. J etais pas partie pour la chaudree comme quoi. C est comme toi avec tes graines et apres c est le travail des insecte et du vent. Et chaque printemps tu as des surprises .
      Merci de ta visite à la chaudree

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  4. Ordinateur mort tout est mourant autour de moi
    Désolées Frankie je ne vois pas ce que j ecris

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  5. Ce qui compte ma chere Josette c est que tu reapparait. Ce que tu ecris nous dit que les roses ne sont pas dans ta palette. Tu peux sur lamangou@gmail.com m ecrire les vagues scelerates de ce qui te touchent prondement je saurai bien lire et entendre ne te prive pas.
    Ca peut soutenir par le pronfond.
    Je pense tres fort à à toi aux tiens . Vous m avez bien soustenu alors la voie est là. tu sais mieux que personne ce qui peut te soutenir.
    Je soufflerai la myrte en pensant à toi.
    Force dans tes pensées. Viens te faire caliner.

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  6. Au marché du samedi, place des Lices et plus si affinités.
    Belle promenade à la Halle aux poissons.
    Le bruit, l'odeur, les couleurs... tout y est chère Frankie.
    :-)

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  7. Tres cherJj, j avais oublie les bruits. Pas ous en m emmenat à Rennes au marche des Lices si fort à mon coeur, un des grands marches de France, et voyageant de temps en temps dans vos Aencres il y avait une chanson elles bourdonnait, j entendais la charmante voix de Bruel et magestueusement et arrivait le caf3 des Lices et les images les paroles de son clip , vous avez raison l art de l ecriture a 4 mains. Grans fantasme. Rare.
    Cela vaut le coup, ca cree.un bel envol cher wjJ, merci

    Des Lices.
    DES LYS.
    Délices.

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  8. Pour se dire les choses en toute franchise, je préfère le pain sec aux anguilles, aux huîtres et à beaucoup de produits de la mer. Je ne mange pas non plus les oursins des calanques grecques (merci pour le clin d'oeil).
    Je mange - de temps en temps- des rougets grillés et des crevettes à la plancha. Mais ce sont les eules petites bêtes de la mer à qui je fais du mal!!
    Je te souhaite une semaine sans pain sec, même s'il stimule l'imagination!
    Gros bisous

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