je deviens folle dés que je vois son nom et des textes de lui , de temps en temps on édité des petit bout de ces carnets dernièrement sur son voyage en Chine.
ect alors régalez vous , ou découvrez le, ses livres accompagnes ma vie depuis fort longtemps
bon mercredi avec ce grand Monsieur. Françoise
Écrivain, critique et sémiologue français. Ses Mythologies
(1957) le firent connaître d'un vaste public. Parmi ses écrits les plus
connus:
"La Chambre claire" (1979). Dans cet ouvrage, l’auteur essaye de
comprendre si la photographie a "un génie propre", si un trait essentiel
"la distingue
de la communauté des images". Pour lui, la photographie "répète
mécaniquement ce qui ne pourra jamais plus se répéter
existentiellement".
Elle dit "c’est ça", "ça a été" . La photo est invisible, ce n’est pas
elle que l’on voit mais l’objet. Il décide donc de comprendre la
photographie à partir des photographies qui existent "pour moi".
Enseignant à l'École pratique des hautes études dès 1962, Roland Barthes
occupa la chaire de sémiologie du Collège de France de 1977 à 1980,
année où il mourut accidentellement.
Citations
- La photo devient "surprenante" dès lors qu'on ne sait pas
pourquoi elle a été prise; quel motif et quel intérêt à photographier
un nu à contre-jour dans l'embrasure d'une porte, l'avant d'une
vieille auto dans l'herbe, un cargo à quai, deux bancs dans une prairie,
des fesses de femme devant
une fenêtre rustique, un œuf sur un ventre nu (photos primées à un
concours d'amateurs)? Dans un premier temps, la Photographie, pour
surprendre, photographie
le notable; mais bientôt, par un renversement connu, elle décrète
notable ce qu'elle photographie. Le "n'importe quoi" devient alors le
comble
sophistiqué de la valeur.
La Chambre Claire – notes sur la photographie, Cahiers du Cinéma, Gallimard Seuil, Paris, 1980. http://www.atelphot.info/quotes/RBarthes.html
Roland Barthes
« Le langage est une peau : je frotte mon langage contre l’autre. »
« La politesse est plus généreuse que la franchise, car elle signifie qu’on croit à l’intelligence de l’autre. »
« Le fascisme, ce n’est pas d’empêcher de dire, c’est d’obliger à dire. »
« Tout refus du langage est une mort. »
« Pour l'écrivain, la littérature est cette parole qui dit jusqu'à la mort : je ne commencerai pas à vivre avant de savoir quel est le sens de la vie. »
« Le toucher est le plus démystificateur de tous les sens, à la différence de la vue, qui est le plus magique. »
« La littérature ne permet pas de marcher, mais elle permet de respirer. »
« L'amoureux qui n'oublie pas quelquefois meurt par excès, fatigue et tension de mémoire. »
« Ce que cache mon langage, mon corps le dit. Mon corps est un enfant entêté, mon langage est un adulte très civilisé… »
« Si l'on supprimait l’Oedipe et le mariage, que nous resterait-il à raconter ? »
« La bêtise, c'est d'être surpris. »
« Les hommes créent souvent des modes aberrantes pour se venger des femmes. »
« L’automobile est un équivalent assez exact des cathédrales gothiques.
»
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« Je revendique le droit à l’ignorance. »
« Dès qu’elle est proférée, la langue entre au service d’un pouvoir. »
« Etre d’avant-garde, c’est savoir ce qui est mort ; être d’arrière-garde, c’est l’aimer encore. »
« Parler, et à plus forte raison discourir, ce n'est pas communiquer... c'est assujettir. »
« Le dictionnaire est une machine à rêver. »
« Toute science de l'homme n'est qu'un discours. »
« La beauté (contrairement à la laideur) ne peut vraiment s'expliquer : elle se dit, s'affirme, se répète en chaque partie du corps mais ne se décrit pas. »
« Il y a dans la mise en scène d'un bon repas autre chose que l'exercice d'un code mondain ; il rôde autour de la table une vague pulsion scopique : on regarde (on guette ?) sur l'autre les effets de la nourriture. »
« JE T’AIME est sans nuances. Il supprime les explications, les aménagements, les degrés, les scrupules. »
« Le femme commence là où finit l'histoire. »
de Roland Barthes
« Ce que le public réclame, c'est l'image de la passion, non la passion elle-même. »
Plus sur cette
citation
« Toute l'histoire repose, en dernière instance, sur le corps humain. »
« Intellectuels : ils sont plutôt le déchet de la société, le déchet au sens strict, c'est-à-dire ce qui ne sert à rien, à moins qu'on ne les récupère. »
« Les livres de théâtre scellent la mort de la jouissance que procurent le spectacle. »
« Ecrire c'est ébranler le sens du monde, y disposer une interrogation indirecte, à laquelle l'écrivain, par un dernier suspens, s'abstient de répondre. La réponse, c'est chacun de nous qui la donne, y apportant son histoire, son langage, sa liberté. »
« Qu'est-ce que la théâtralité ? C'est le théâtre moins le texte, c'est une épaisseur de signes et de sensations qui s'édifient sur la scène à partir de l'argument écrit. »
« La France est atteinte d'une surproduction de gens à diplômes, polytechniciens, économistes, philosophes et autres rêveurs qui ont perdu tout contact avec le monde réel. »
Roland barthes de la chambre claire
Sur racine |
Roland Barthes par lui même |
Roland barthes de la chambre clairecamera lucida de R B |
Comment un homme aussi élégant dans tous les sens du terme, peut il écrire " La bêtise c'est d'être surpris"...C'est plutôt le comble de l'intelligence que la découverte constante!
RépondreSupprimeret vbien mes dames cueillez vos bouquets d'hommes c'est bien comme çà çà fait rêver oui, cette voix bisous à toi et merci pour Roland. pour moi aussi cette réplique sur la bêtise m'a étonnée aujourd'hui , je sentais qu'il avait mal veilli
SupprimerN'a-t-il pas été adulé? Il faudrait le relire pour savoir de quoi son succès - et son presque oubli - a été fait!
RépondreSupprimeril était la coqueluche des intellectuel des années 80 avec philppe Sollers , julia Kristeva, et Lacan
Supprimerl'intégration de la linguistique à la lecture de freud dans les séminaire de Lacan à fait des émules , comme moi d'ailleurs ,
je fus marquée par Roland barthes par lui même, et surtout le grand boum du frgment amoureux, où je me retrouvé bien dans les scénario de l'énamouré, et il prenait le "Werther" de Goethe et à l'époque je jouais Goethe,
l'ai dea aussi pour l'interprétation des grands textes , comme racine son Racine , et avec sa Mythologies j'ai pu faire de superbe improvisations et gagner des essais dont le textes de catcheuses
et après tout tout car fan , et folle dingue de lui.
c'est juste ce que tu écris oui,
Je ne comprends pas tout ce qu'il dit ... il faudrait y consacrer plus de temps.
RépondreSupprimerBises Frankie/Germaine
@ solveig
Supprimersi tu veux prendre ton pied
la lecture du fragment amoureux tu peux t'y retrouver et puis tu sais c'est pas grave de tout comprendre çà vient au fil du temps et meêm si çà vient pas c'est pas grave.. je t'embrasse
Merci beaucoup Frankie,
RépondreSupprimerJe ne connais pas cet homme ... tu m'y fais goûter un petit peu: hors d'oeuvre, c'est le cas de le dire!...
Le dictionnaire est une machine à rêver,
magnifique!
Bonne journée,
Michelle
merci beaucoup de ce très beau texte car il veille aux choses importante de moins en moins parler sauf chez les êtres qui ont trouvé les pas d'un chemin d'éveil et formidable , je suis ravie de t'avoir fait découvrit Roland barthes
Supprimertu vois par exemple si je suis capable d’écrire comme le texte commencé à être déposé aujourd'hui c'est grâce à ses grande fréquentations je t'embrasse à bientôt merci de ton commentaire car maintenant je vais pouvoir te remettre dans mes blog ami , j'ai eu un soucis et perdu bien du monde fréquenter alors le commentaires çà sert beau fin d'été.