belle semaine et que le soleil soit aussi présent que cette dernière semaine
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Pommes de pins miniature
si belle à croquer vite, les aquarelles , les pastelles, très précisément comme le ferait un
herboriste. Goethe son Traité de
botanique dont la pauvre Christiane ne comprenait que des gouttes de mots.
Comme une herboriste consignerait chaque
détail.
Traité de
botanique
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Papillon
turquoise sur la serviette enveloppant le tout. Le « tourquoise » de
la renaissance , le papillon de la métamorphose.
La libellule.
Mon dieu la
libellule de Marylin que le père de Claire lui avait acheté aux enchères .
Autre aventure .
C’est bon pour
today, un Gérard dont nous cherchons à
épingler (nous : l’écriture et scripteur de mon étrangeté de l’autre et
de mon dedans) dans sa boite de papillon butineur de dame sans attachement nous sommes dans du
Fauré « Le papillon et la fleur »
c’est tragique .
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Marilyn ,sexe,
sexe pour avoir de l’amour et elle en
est morte si jeune. Moi j’ai eu raison de faire du travail sur moi pour
comprendre pour quoi dans mon jeu ,je ne tombais que sur du « un jour »
avec des « reviens’y » toujours même après dix ans , la première fois
comme quoi je laisse des bons souvenirs .
Ferons nous un
autre voyage en Italie, au Piré ?
Pire et les
anciens, Marilyn
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Comme dit mon
grand ami Roland Barthes à nos âges, ma chère Françoise, nos sexes ne sont plus là où on les cherche.
Et moi de rajouter : « comme dans les guides de montagnes ,les
mouvements génésiaques des mappemondes ont opéré certains glissements , depuis
que sur des critiques littéraire de
Starobinski, je prends un orgasme des plus lumineux, pourquoi faire du pâté
avec la vieille machine à hacher les étoiles ?
ami Roland
Barthes
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Ainsi de grand
coup de cœur, à grand de coup de queue, tous les 7 ans ma mémoire est vive de
mes enchantements.
Ah les
aphorismes !
C’est pour cela
que je ne suis pas morte à 38 ans comme Marilyn et que j’espère bien vivre encore longtemps sur la route de la soie,
des soies, sans sosies Lire « Un
jour » de Maurice Genevois vous allez me traiter d’obscène.
Rien que pour
toutes ses sensations je ne regrette pas d’avoir souffert. Les sensations
hautes ne naissent pas toujours dans les
roses sauf la rose de Louxor, et la rose Piña Colada
« un jour » vous allez me traiter d’obscène
suite demain du chapitre 2
la tranche d'orange confite
écrit de Frankie pain
Quel manège! J'en ai la tête qui tourne ... et j'attends demain!
RépondreSupprimerjute un petit coucou.. mme wifi n'est pas généreuse!
RépondreSupprimerObscène vous avez dit obscène?
RépondreSupprimerMais j'attendais pire que ça !
RépondreSupprimerJe ne vois rien d'obscène là-dedans ...
Bises.
merci mes dames c'est toujours délicat de parler de l'intime
RépondreSupprimersympha
Comme dit mon grand ami Roland Barthes à nos âges, ma chère Françoise, nos sexes ne sont plus là où on les cherche.
RépondreSupprimer- Merci chère Frankie pour cette belle citation. J'en ferai usage pour mes "Citations du jour" un jour prochain (sans doute samedi).
Quand à l'obscène, il ne résulte que de l'ignorance de la vérité scientifique qu'il nous apporte.
Je vous embrasse,
Jean-Pierre
@ jean pierre
Supprimeril est tôt mais je m'y suis mis quand même
oui c'est vrai les mots réveillez qui tombait en désuétude;
*
je vous embrasse et à samedi que je vois comment vous allez scandé la citation de roland qui m'a beaucoup servi dans ma vie et qui à force d'être utile est devenue primordiale