Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
samedi 5 juin 2010
premier dimanche de juin phrase d'Henry THOMAS
Tu dois vivre dans le présent, te lancer au-devant de chaque vague, trouver ton éternité à chaque instant
Je préférerais m’asseoir sur un potiron et le posséder bien à moi que d’être à plusieurs sur un coussin de velours.
Une grande vérité, même gauchement suggérée, nous émeut plus qu'une vérité médiocre complètement exprimée.
i tu es écrivain, écris comme si tes jours étaient comptés car, en vérité, ils le sont pour la plupart.
La poésie n'est autre chose que la santé du discours
C'est la présence qui fait le silence d'une chambre.
— Le champ de bataille a bien des avantages sur le salon : là au moins s'exibe un des visages de l'humanité ; dans le salon, il n'y a qu'un masque.
Je suis venu en ce monde non pour en faire avant tout un endroit où il fait bon vivre, mais pour y vivre.
Les faits les plus intéressants et les plus beaux sont eux-mêmes poésie.
Le poème de la création ne s'arrête jamais ; mais rares sont les oreilles capables de le capter.
— J'ai de la nostalgie d'une de ces vieilles routes sinueuses et inhabitées qui mènent hors des villes ... une route qui conduise aux confins de la terre ... où l'esprit est libre
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Tu as fait beaucoup de progrès en écriture, Frankie...
RépondreSupprimerTu me dois un voyage...enfin tu m'as compris, je t'attends, et tu n'es toujours pas venue !
LG