Le Train jaune de Cerdagne
Un extrait de "Chemins d’encre" Extrait de "Chemins d’encre" (Rhubarbe éditeur)
Le Train jaune, sur sa voie métrique, a désenclavé la Cerdagne dès 1910, transportant les hommes et les marchandises. Il est devenu un enjeu touristique sans perdre son charme. Epousant le paysage, il raconte un territoire.
Paysage de Cerdagne, que traverse le train jaune.
Photo Michel Baglin
Où que l’on soit en Cerdagne ou dans la vallée de la Têt, il est difficile d’échapper au Train Jaune. Cette petite chenille aux couleurs sang-et-or de la Catalogne semble se démultiplier pour apparaître ici et là, dans les vallonnements du plateau où les escarpements de la vallée.
Nous l’entendons bien souvent avant de la voir : les pentes à six pour cent font ronfler ses moteurs électriques et c’est dans l’effort d’une lente ascension qu’elle s’achemine de Villefranche-de-Conflent à Latour-de-Carrol.
On la guette, on l’attend, elle finit par apparaître sur un versant ou dans un creux de la vallée, sortant d’un tunnel, d’une courbe ou de derrière un piton rocheux. On la suit des yeux sur le viaduc Séjourné aux arches majestueuses, sur le pont Gisclard (pont suspendu portant le nom de son concepteur qui y trouva la mort dans un déraillement, lors des essais de charge) et mieux encore dans ses lentes circonvolutions reliant les villages cerdans.
Le Train jaune, sur sa voie métrique, a désenclavé la Cerdagne dès 1910, transportant les hommes et les marchandises : la production des mines de fer du Haut Conflent, le bois et le bétail des transhumances ; les populations autochtones et bientôt les curistes venant se refaire une santé dans la région de France bénéficiant du plus grand nombre d’heures d’ensoleillement. Aujourd’hui, il est essentiellement dédiés aux touristes, qu’il promène sur les 63 kilomètres d’un parcours sinueux et escarpé.
Mais il fait surtout partie d’un paysage qui perdrait un peu de son charme privé de son « canari ». Croisant et recroisant la route, il s’en écarte pour traverser des vallons déserts, s’aventurer à flanc de montagne, au débouché des gorges, dans les défilés rocheux. Sa marche est lente mais sûre. Comme un randonneur, il compose avec le relief, accompagne les torrents, glisse dans les prairies, se faufile dans les failles. Fait halte dans sa montée en vingt-deux gares pimpantes comme celles des circuits de modélistes.
Le Train jaune épouse le paysage. au vaillant tortillard
Extrait Michel Baglin
dans mon monastére de l'ile de Ré
pendant que mon ami fait ses interviews
dans ce cadre plein de sens et de vertus,
je corrige les premiers jets de "sugir le pire"
je vous respecte trop
pour vous les faire partager.
Désolée de vous mettre des textes
qui alimentaient
certains théme d'écriture,
dans mes ateliers d'écriture.
Poucinette reviendra bientôt,
elle me manque déjà.
bonne lecture
chers lecteurs et lectrices
Frankie Pain de la Mangou
Oh, que cela fait du bien de voir ton sourire rayonnant! Un sourire qu'il nous faut cacher aux autres depuis des mois pour notre "bien". Tu dois être bien loin de Paris dans ton monastère et ton île. Cela nous donne de la force à tous de voir le chemin que tu as parcouru. Tu nous montres l'importance de se battre encore et toujours.
RépondreSupprimerRefais tes forces, écris et corrige et surtout profite de l'air salé et des bons produits de Ré!
Bisous
Merci chère Marie Paule demain je pars en chalutier faire la peche celame manquelelarge.
RépondreSupprimerLouis est adorable le chalutpecheur, monami a le mal de mer. Il m emmenerasur le bateau etpreparerale repas du soir.
Mercife ton mot. Celame donne du courage. A tres bientot etbon courage pour yon amoureux c est long c est grandcharpente
Bisous à tous les deux Frankie
Mais c'est la belle vie, Frankie et il est top ton ami: balades et repas au programme, qui dit mieux. Oui cela fait du bien de prendre le large. Dans tous les sens du terme!
SupprimerAlors largue les amarres!
Off course my dear.
RépondreSupprimerNous sommes ded grands acteurd qui avons partagé des grandes emotions de scene.
Nous nous decouvrons sans rôle.
C est une etrange nudité tout habillé.
Rires
Quel plaisir, en effet, de te savoir heureuse, avec la mer et l'amitié! Profites-en bien!
RépondreSupprimerIl de passe des.petiits miracles parfois.juste avoir birndpnne la replisue et toujours juste dans ses qualites d interprete et soudain le fesir de rencontre mafemme qui est sous lu dansla gouverne.
RépondreSupprimerMerci de ton mot.