Poucinette (suite) grande decison

 

Dans le meublé deux pièces,  rue du Gars Matideu à Nantes Poucinette logeant dans le plus inconfortable coin pu être sauvée d’une fuite de gaz.

ELLE bondit à la crémerie de la rue Saint Clément pour faire appeler les pompiers. Elle qui avait déchaussée de cette famille trouvée !!!! on aurait dit

Après leur avoir sauvé la vie, à part les voisins , les pompiers aucun remerciements des trois. Pére blanc , mère , Ainée.pourtant il avait été rechargé en ocygéne. Comme Elle d’ailleurs.

 Cette absence de manifestation fatiguée cette Poucinette. On aurait dit que dire un mot leur aurait ecorché la Goule.

-« Je ne suis pas de chez gens là. »

Jamais Soundiata ne se serait comporté ainsi.

Elle fit donné de l’oxygéne à Canari . IL était titubant dans la cage…

La tonalité des climats, même au monastére après où ils demenagérent dans un plus grand appartement.

Elle devait dormir à côté de l’aînée et toujours dans le coin entre le mur et l’autre qui ne la supportant pas mettait un traversin entre les deux.

 Poucinette la connaissait pas cette fille son ainée : toujours partie courir avec ses deux cousines la Chantal et la Monique.

Poucinette pas le droit de partager leur joie.

- Va t’amuser avec les enfants de ton âge.

 L’hyper maturité acquise au fil de ses choix, faisait qu’elle ne pouvait s’accomplir dans les jeux avec des enfants qui n’avaient acquis le concept de jouer.

Elle commença à  s’occuper toute seule.

 Mais à Nantes la température chaque jour bouillait de plus en plus. Le pére blanc à la guerre, c’est à peine si elle l’avait rencontré,  la mère - l’ainee avaient constitué un couple collé collé secotine.

La chance c’est que son lit était un cosi une fois dedans elle ne pouvait bouger. Mais le père avant de partir avait fait le plein du cosi de littérature pour enfants.

 La tapisserie le pan donnnant sur le côté du lit où était enfermée la Poucinette c’était un Abécédaire avec lettres et dessins. Les teintes étaient chaudes, les dessins BD d’enfants chaleureux et généreux.

Alors Pouvinette rentrait dans un livre où s’amusait le lire l’alphabet . ELLE imaginer d’autres fleurs ou animaux et le lendemain elle les dessinait sans le style de la tapisserie.

Quand l’aînée n’avait pas ouvert la bouche de la journée le soir Poucinette se lançait avec sa verve africaine à l’assaut de la maman qui voyait rouge , vert , violet et

Soudain se servait de tout ce qui pouvait taper, pour s’en servir sur le corp de Poucinette.

Le regard de l’înée n’en perdait pas une

mais jamais il lui vient à l’esprit de dire stop.

On aurait dit qu’elle avait manigancé son silence toute la journée pour obtenir ce resultat là..

Je hais les taiseux à cause de çà. Il se la joue belle pour assoir leur pouvoir et jouer de la manip. Mon voisin un mec fou de moi c’est différent il est Guadeloupéen et ne possède que 5o mots.

Poucinette lisait de plus en plus. Jamais contrôlé par la mère  , heureusement que rejetée à l’école à cause du métier de guerrier de son père , plutôt que de se faire démolir à la recré,  la maitrese la gardait en classe , la prenait sur ses genoux et les pages de lectures du soir, elle les faisait avec Poucinette. Elle lui faisait de la rééducation  sur sa dyslexie qui s’installait au fil des jours.

Un jour gentiment l’aînée décida de s’occuper de sa sœur, de jouer au médecin et de lui mettre les suppositoires de la mère quand elle avait des crises de foie.

Poucinette : prendre des médicaments c’est pour aller mieux mais plus elle avait des suppositoires plus son ventre faisaient de petarades du 14 juillet. Elle avançait courbée  et décida d’aller se coucher. Les autres encore à table : la mère «  tu mangeras mieux demain et t’a pris de l’avance » ;

Poucinette eu un pêt qu’il lui échappa, mit le contenu de tout son intestin ainsi et les suppositoires comme des bombers misnucules coloriées se découpèrent sur le drap de grands cotons de la grand mére Marguerite.

 C’était devenu un décor pour jouer les grenouilles dA’ristophane.

Poucinette appela au secours , elle voyait trouble. Et la mére la sortit du lit comme à un chat lui fit reniffler la rouille d’oursin  émante de la couche et après la renifflete.

-         Tu me feras toujours chier.

L’aine dans son mouchoir sniffait sa lavande et pouffait de rire, apparemment son plan avait marché.

Ce jour là la mére tapa si fort qu’elle s’arrêta quand la tête de Poucinette éclata de sang.

 

-         Interdiction d’être malade, demain école. Qu’est ce que tu as bouffé ?

-         -Tais toi. Tu écriras demain 50 fois,

-          interdiction de me mettre les médicaments de maman dans le cul.

-         C’est pas moi : c’est l’aîné.

-         -Tu rajouteras  à ta punition,

-         je ne dois pas repondre et accuser ma sœur.

Le changement de drap se fit en silence. Poucinette se mettait des mèches de tissus dans le nez, elle avait vu l’infirmière de l’école faire çà à un saignement de nez.

Elle s’assoupit sur le fauteuil.

 Les fenêtres étaient grandes ouvertes.

 Elle tremblait de tout son corps.

 Elles ne lui portèrent même pas un verre d’eau.

Elle dormit dans le fauteuil. « Toucher cet etron d’être, çà allait la tuer. »

Dans la nuit elle se projeta dans le train pour La Rochelle, l’autobus pour Courçon d‘Aunis,  les gendarmes  pour déclarer son changements d’adresse au papa

 Elle savait qu’elle allait emprunter d’argent à son ancienne nounou.

Elle preferait mourir dans une guerre avec les cartouches, les bombes tirs que de mourir de ses deux mousmées. : Mére et sœur.

Suite dans les jours à venir

Frankie Pain de la Mangou

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film dans la maison des Baccaras. La princesse.