La supplique des dernières heures d'Aout
Aout ton dernier jour, mon amour,
Ne t’es-tu pas senti trahi
Par ton pot Septembre ?
Il nous a fait gicler son air humidifié
Pas d’huile essentielle, pas de l’arbre à thé,
Certes pas.
Un air vicié malgré les vaccins, le PASS.
Il nous a fait nous choper
La bronchite « carabine ».
La vitamine D, à injecter
Avec ses compléments de fixation.
Août, mon adorable,
Tu vas lui donner une branlée en brandade
Sans Morue,
Simplement la douleur nécessaire
Afin qu’il se rappelle.
La grosse charmeur, chaleur : c’est pour Toi
Les inondations, c’est pour la fonte des neiges
Mars, Avril,
Encore un grand gâté d’une mère frigide,
Le petit bout du petit a remplacé papa,
Et bien évidemment il fonctionne en matcho
Et même de mâle à mâle maintenant
Les mêmes sexes se marient,
Nous voyons remonter en surface, le caractère
Cà se croit tout permis, l’élu de ces matrones mères.
Cher Aout, me Dulcinéo,
Il ne te reste plus que quelques heures
Pour mettre Septembre sur le cul.
Crée son Pavlov réaction pour l’an prochain,
Qu’il te redonne dans un immense été indien
La place qu’il t’a prise dans ta saison.
Nombreux se joignent à ta copine Célestine
Qui t’adorait sur le glacier du Vignemal
Quand tu faisais fondre les plaques de neige
Calestine devisa sur une plaque de glace fondue
8O mètres d’un seul tenant
A peine remise en tête de Voie,
Il fallait mettre toute la cordée à l’abri
Ton orage du à la grande chaleur,
Le ciel se fondait.
Août je t’aime.
Défend
les caractéristiques de ton moi, ton mois.
A minuit passe au monastère, je t’y attendrai
Je t’offrirai les plus pantagrueliques extases,
gardées en Célestine que pour la rareté des Masculins
Nous conjuguerons au présent les plus beaux Nous,
Les grandes fontaines de Rome….
Les polissages des sculptures de Carrare
Ces Nous dans le polder de nos cœurs.
Je vais te réinscrire dans ton ADN
Ce que sont les grandes chaleurs d’Aout,
pour l’an prochain et tous les autres.
Personne n’ y a pensé,
c’est un écosystème comme un autre.
Le paradoxe vue l’indifférence poussant
Comme des nuages de sauterelles
Avant les tornades d’Afrique.
Porc-quoi la banquise ne s’est pas reglacée ?
Frankie Pain de la Mangou
Droits d'auteur reservés
N'oubliez pas de mettre à la marée haute votre KWAY,
autrement c'est l'heure cu cidre et des galettes.
le muret s'est vermoulu de mousse
l'ombre si utile en Aout.
L'arbre sans nos rires dans les trasats
afait une dépression .
Nous avons du l'arroser au Mille pertuis.
Nous avons semé à ses pieds des plans de Millepertuis plus excatement.
l
le mur des éclats de rires.
Des petits billets avec le recit très factiels de la situation.
Nous y reviendrons.
Pour l'été indien il n'y a que le mâle qui m'aille ! (la maille; un point à l'endroit,un point à l'envers)...)
RépondreSupprimerToujours le mot adequate pour faire naitre un siurire bidous
RépondreSupprimerQue le mondeest consommateur toute histoire commencee vous l arreter pourune fois.je fais poesie humour plus plus plys et drôle meme c est désespérément ...reveillez vousbon Zeus soyez desHomeres
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