6 aout
Un vendredi, pas saint, mais assez crucifiant
je ne suis pas Jesuella de Nazareth
Inoubliable,
Pigments de l’état des lieux, du haut de mon fauteuil
A monteur humain.
Je ne dirai pas où je fais mes courses une fois par semaine.
La chef chaque nouveau règlement des heures du mois,
Réduits le temps.
3h,
passe au 2H 45
, 2h 30 , à 2 h. le vendredi jour de mes courses.
Efficace et bcp plus économique.
Aller au trame, chance pas trop d’attente.
Se tenir prêté. Sur l’heure même après si il y a des retards.
Petits temps tronqués sur tes morceaux de petites vies.
La découverte aujourd’hui.
La note dépassée de 100 euros.
Et la carte arrêtée.
Impossible de taper même son numéro.
Nous passons à une autre caisse. Même refus.
Nous devons laisser toutes mes courses et fournitures en manque dans la maison ou mes activités de natation ;
Les sacs débordent.
Le plaisir de la cueillette de rayon en rayon. Juste ce qu’il faut pour ne pas jeter la nourriture.
Les sacs sont dechargés.
Nous vous les gardons jusqu’à ce soir.
Plan B
La banque.
Que s’est-il passé. J’ai tenu tête au cambrioleur. Refuser de lui donner ma carte, mon numéro.
Il m’avait derobé un livre sur mon bureau « l’eloge du rien. »
Ah !c’est pour les emprientes.
Il me dit vous avez tout compris avec un sourire.
Vous me le ramenez j’y compte à ce livre.
Oui bien sur
. La suite sur ce chapitre déjà raconté.
Panique en moi qui se traduit par un grand silence.
Arrêter l’esprit à la fabrique du pire .
J’ai conjugué ce mot dans les Hôpitaux.
La poste , je pars aux distributeurs en faisant garder la place à l’homme du guichet.
Lire l’état des lieux du compte.
Aucune opération que je ne signe pas.
Le loyer est réglé, le trop payé des impôts est là .
La retraite est posée. Il en reste même.
Déjà rassuré à moitié mais rassurée.
Nous expliquons en chœur avec mon auxiliaire une femme de belle qualité l’âme.
Frot heureusement que ce ne soient pas les gazelles - cheval qui cherchent un coin pour jouer de leur smarphone et le plus loin de vous.
Rares, mais ç à existe dans le recrutement de l’été.
L’homme a son bureau me connait bien, et m’aime bien.
C’est toujours agréable d’être dans ce cadre pour une telle transaction ;
Je le vois naviguer sur l’écran, son visage est impassible .
Il ne semble pas remarquer un vice de forme.
Il me pose la question de la somme de mes courses.
Et repond, cela devient de plus en plus fréquents, que l’on oblige les personnes à payer en liquide
pour réduire les tva….
Mon auxiliaire avait pris le temps de téléphoner à la maison référentiel
Pour degager quelqu’un pour mon après midi retourner chercher les paniers.
Réponse : » nous avons personne et Mme a dejà manger toutes ses heures.
Nous ne sommes que le 6 août..
Je ris jaune.
Je vois le grand véhicule qui porte les culottes.
Je ne suis pas surprise ,
vue les choix qu’ a fait cette personne pour mon été .
Elle m’a mis les moins formées.
Et la mienne répond : Mme il faut qu’elles apprennent.
Je croyais qu’elles avaient des formations. !
Celle qui m’a fait tomber de mon fauteuil
N’était jamais sortie avec quelqu’un dans la rue
avec un patient.
Cette femme ,of this day, m’a « charmantement »
proposé de venir me chercher après sa fin de journée….
Sur le moment je lui ai dit oui, c’était gentil ,
je la payerai bien entendu.
Je sortis l’argent nécessaire pour ses deux transactions là.
Chemin faisant du retour. Je prie la décision de ne pas.
-J’ai connu la guerre avec rien dans les écuelles, et les coups des tirs et compagnie…..sonores nourriants.
Je tiendrai ce siège. J’ai des spaghettis.
-J’appelle pour avoir les horaires du debut de la semaine. Devant préparer mes voyages en piscine.
SFR était en panne..
-AH ! je vais être en stand bye tout l’après midi !
Et je marmonne décidément sans chercher la preuve par neuf , j’ai de plus en plus l’impression que l’handicapé est voué, à l’attente mais pas à la vie.
Réponse ce n’est exactement çà pas le droit à la vie.
Je m’arrête là .
J’ai pu organiser mes transports ambulances piscine…
J’ai réalisé que la parole qui circule
dans ce type d’établissement est cela.Ci dessus.
Nous ne pouvons pas faire plus clairs.
What the ‘s beef ????? It’s clear.
Et pour conclure en rigolant par saccades de Trois sur un crescendo vers les aigus s’arrêtant avant le SI bemeol la note du diable.
Une de mes dernières amies me pratiquant encore,
à creuser le fossé.
Cela commence à arriver sur les rezeaux :
Les barricades entre les gens du pass et les autres.
Grands defilés demain , attenduent avec crainte car ce que l’on a vu avec les rassemblements des jaunes commencent à radiner.
Frankie Pain de la Mangou
droits d'auteure retenus
envoie d'oxygéne
Grande Histoire d'amour
Avant son concours hyppique, dans l'herbe si ma mémoire est bonne terre neuve
RépondreSupprimerBonnelecture
Se noyer dans les yeux d'Inès...
RépondreSupprimerQuand j ai accroche un RV avec son pere, à la gare entre deux trains. Elle etait dans sa poussette c etait l'été. Ses yeux immensescouvraient toute sa frimousse, les yeuxbleus de mon pépé
RépondreSupprimerJ etais, subjuguée.
Surtout que les trois derniers, j avais parlé beaucoup au telephone sonpapa faisant des stages.
Je comprends ce que tu ecris se noyer dansles yeux d Ines.
Merci tres chère.
Merci tres cher, je ne sais pas lireles caligraphies merci de votre tres beau commentaire.
RépondreSupprimerFrankie de la Mangou