Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
lundi 26 juillet 2010
courrier du coeur L'ABOUELLITA FRANKIE PAIN et les amies blogeuses
Une très chère amie avec qui je me promenai hier au milieu
Du jardin aux essences
Avec la fanfare des tambours brésiliens,
Orchestres de jazz,
Me suggéra d'écrire courrier du cœur
À vous mes dames,
Messieurs
D’envoyer des pistes de courrier
Si la tache est complexe,
Je sortirai mon jeu de l'oie,
Nommé aussi
« Le labyrinthe de la quarantaine »,
Billet rose ou billet bleu, rouge, jaune……………………..
Je publierai
Les courriers du coeur le dimanche,
Nous essaierons d'être subtile,
Avec un humour léger
Quand le coeur bat la chamade ou l'interrogation
Nous perdons l'espace du jeu dans notre vie,
Nous avons le nez collé dessus le bobo ou l'interrogation du style :
" Je fais un break nous parlerons plus tard"
, çà vient d'arriver à la fille de 21 ans, d’une de mes amies,
La petite ne relève pas la tête,
Le rapport de stage est sur la plage,
Il baille à attendre la marée de la plume de la petite.
Qui ne se rappelle pas ses « ajournements » qui n'ont jamais étaient recousus d'une parole simple, généreuse, appropriée à se récupérer à se réapproprier à soi-même.
L'art perfide d'une phrase comme çà, est une saignée à la Hippocrate, s'offrir la liberté, de nouvelles expériences pendant que l'autre attend la belle parole qui fera sens.
Sans prétention, un peu de justesse, d’écho, nous pouvons tous être les femmes souveraines, les albouelita de la morsure du cœur
Cœur de pirate chantera,
Pour rester moins de temps à mariner dans la saumure, ne jamais être le cornichon de l’autre, revenir à soi. Ni être cornichonne de soit même…
Le prophète disait « c’est quand l’histoire est fini que l’on sait l’histoire que l’on a vécu »
Roland Barthes dans « Les fragments du discours amoureux » (seuil)
Non plutôt dans »Roland Barthes par lui-même » :
- « Ne nous empressons pas de nommer l’histoire que l’on est entrain de vivre cela pourrait nous faire passer à côté de sa fable »
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Bravo!
RépondreSupprimerJe te piques la citation de Barthes...
Elle colle pile poil à un truc que je suis en traine de rédiger..
Kiss
P.
elle est formidable
RépondreSupprimertu as raison et c'est tellement juste ne te prive pas grosses bises
J'admire toujours autant votre verve et votre enthousiasme que j'envie, bonne journée à vous, à bientôt.
RépondreSupprimer