Textes du jour de la blog-woman, phrases : colonne vertébrale, contes, légendes, mots d'humeurs, d'amour, lettres à la mer, recherche de connivence, complicité, ses dessins, ...la jazzeuse des grands chemins et sentes, écrivaine nomade des murmures de la vie intérieure et des happening minimalistes nés au hasard d'un banc public dans un parc aromatique , un abri bus , un train , un marché, les pas perdus d'un aérogare tous les lieux insolites pour une rencontre.
mercredi 14 juillet 2010
jeudi rubrique la maison EST UN NAVIRE
AQUARELLES DE FRANKIE PAIN
UN GRAND PHOTOGRAPHE
Ma maison c'est un navire.
Il largue les amarres, il dérive.
DESTINATION INCONNUE.
Chaque leste lui donne de la quille
Les lestes des relations qui gangrènent les valeurs DE l'amitié
Par exemple.
C'EST DUR de perdre de vieilles amitiés
Ce sont des pentes de notre vie qui partent avec elles
Cependant l'amitié mérite le respect de règles implicites
Et quand elles sont sautées de manières répétitives
Et toujours sous la même forme
C’est que nous ne pouvons nous y faire
Et qu'à la longue
Cela gangrène l'être.
Il faut tant d'années pour faire pousser une telle vigne de ce vin de vie.
AVEC LE GRAND PARDON
QUE JE PEUX ME FAIRE D'AVOIR
EU LA PATIENCE SI LONGTEMPS
D'AVOIR
Pas su m'exprimer plus précisément
D’avoir mis de l'attention
En parlant que l'amitié ne pouvait être éternelle
Que si de temps en temps on lui donnait du soin
Spontanément avant qu'on le demande
Un jour, un ami me dit me dit « mais sait attendre que l'on t'appelle et que l'on se manifeste. J’ai attendu 10 ANS,
JE NE M'étais PLUS FAIT ENTENDRE. LIRE.
JE LUI AVAIS donné le temps
Je l’avais attendu
La vie 10 ANS APRES ME L’avez présenter dans une salle de choix de mannequins.
Il m'embrassa ;
Quelle joie !
A l'intérieur mon cœur .Je pleurai de partout, mes lèvres étaient closes, je le laissais improviser sur ce cadeau que nous faisait la vie,
IL ne proposa pas que l'on aille boire un café,
Je ne le fis pas non plus.
La vie avait été plus rapide que son désir à renouveler le temps à l'amitié.
En vivant à Paris, nous sommes souvent témoins de ce mot valise qui contient plus rien
Ce matin,
Ma maison,
Mon petit navire s'est lesté d'un faux lien,
Mon coeur avait trop mal à attendre
Encore après les vacances des nouvelles
. Quand on aime trop le mot amitié nous ne nous rendons pas service
Et de même à ses amis que l'on choisit
Car il nous donne la place de la roue de secours
Et comme la peur de la solitude, du silence est si grande
Que leur vie est toujours remplie à craquer comme les assiettes de buffet à volonté
Et la roue de secours ma fois
On va jusqu'à oublier qu'elle est là.
Elle ne peut pas toujours semer des épines sur le chemin pour qu'une roue crève;
Et ce n’est pas ce que l’on puisse souhaiter à une amie
Alors on dit au revoir adieu,
L’amie ne répond pas.
Quelle joie de l’avoir fait !
Elle n’était plus là depuis des lustres,
Elle ne nous avait prévenu
Nous en doutions
Mais nous ne voulions pas paraître mesquine, regardante.
Qu’est-ce qu’on est bête !
Je dois vous paraître bien simplette !
Oui aujourd’hui je vais lire MONTAIGNE ET LA BO2TIE
Parce que c’était lui, parce que c’était moi
Et l’analyse merveilleuse de MONTAIGNE
Par le grand critique « STAROBINSKY »
Je suis bordelaise et que ce soit Montaigne et MAURIAC C4EST COMME SI LEUR écrits coulés dans mes veines
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yune cocotte plein de belles écriture la dernière dame inscrite sur mon blog gabrielle
RépondreSupprimerj'ai sa plume franki
merci beaucoup pour ce gentil message à mon égard Frankie, je suis crevée ce soir, j'ai passé la jounée sur la route, je lirai votre blog demain promis juré, ça a l'air très électique et électrique, j'aime beaucoup ;)
RépondreSupprimerCoucou Frankie!
RépondreSupprimerAttendre c'est bien parfois, mais aller vers l'autre c'est bien aussi;o)
***
Bises et à bientôt*******
Ps: j'ai adoré ton aquarelle. Les couleurs sont vraiment belles*